Voir une image en trois dimensions prendre vie au dessus de l'écran de son smartphone sera bientôt une réalité tangible. La start-up américaine LEIA Inc et Altice (SFR) semblent confiants quant à la finalisation d'un smartphone à écran holographique pour 2017.
Altice (SFR) semble désireuse de marcher main dans la main avec la start-up LEIA Inc (Silicon Valley), dont l'essence est de perfectionner sa technologie d'holographie sur des écrans de petites diagonales (idéal smartphone).
Cela fait plusieurs années que LEIA Inc a les mains dans la pâte de son procédé d'holographie basé sur un matériau appelé DLB (Diffractive Lightfield Backligthning) qui assure une image 3D holographique sur laquelle on peut agir (activation de zones, manipulation).
Le système est basé sur une diffusion d'images diffractées sur 64 directions dans l'espace, ce qui permet aux deux yeux humains d'en capter 2 différentes suivant l'axe de vision, et d'avoir donc une sensation de relief flottant en 3D.
Le système s'appuie sur une double émission d'images : la dalle LCD principale du smartphone (en 2D) et une dalle complémentaire LEIA Inc contenant l'image 3D diffractée (ndlr : cachet de Doliprane offert par NRJ Games à la fin de papier).
Le concept final du smartphone holographique devrait intégrer un système de détection de la position des doigts qui devrait permettre l'interaction et la manipulation de l'image qui surgit ainsi de l'écran en 3 dimensions.
Les applications sont légion : gaming, diffusion du message délivré par R2D2 à la Princesse Leia comme si vous y étiez, etc.
Quand ? Altice prévoit le lancement d'un smartphone pour les fêtes de fin d'année 2017!
Altice (SFR) semble désireuse de marcher main dans la main avec la start-up LEIA Inc (Silicon Valley), dont l'essence est de perfectionner sa technologie d'holographie sur des écrans de petites diagonales (idéal smartphone).
Cela fait plusieurs années que LEIA Inc a les mains dans la pâte de son procédé d'holographie basé sur un matériau appelé DLB (Diffractive Lightfield Backligthning) qui assure une image 3D holographique sur laquelle on peut agir (activation de zones, manipulation).
Le système est basé sur une diffusion d'images diffractées sur 64 directions dans l'espace, ce qui permet aux deux yeux humains d'en capter 2 différentes suivant l'axe de vision, et d'avoir donc une sensation de relief flottant en 3D.
Le système s'appuie sur une double émission d'images : la dalle LCD principale du smartphone (en 2D) et une dalle complémentaire LEIA Inc contenant l'image 3D diffractée (ndlr : cachet de Doliprane offert par NRJ Games à la fin de papier).
Le concept final du smartphone holographique devrait intégrer un système de détection de la position des doigts qui devrait permettre l'interaction et la manipulation de l'image qui surgit ainsi de l'écran en 3 dimensions.
Les applications sont légion : gaming, diffusion du message délivré par R2D2 à la Princesse Leia comme si vous y étiez, etc.
Quand ? Altice prévoit le lancement d'un smartphone pour les fêtes de fin d'année 2017!
Samsung a présenté son écran pour smartphone pliable au salon SID Display Week 2016 à San Francisco. Le smartphone du futur n’est plus très loin. La démonstration en vidéo.
D’après la rumeur collective, Samsung devrait lancer le premier smartphone pliable en 2017. Pour le moment, la firme coréenne a déposé beaucoup de brevets pour différents smartphones pliables mais nous n’avons toujours pas vu la technologie en action.
Le grand rendez-vous de tous les constructeurs d’écrans de la planète nous donne l’occasion de découvrir ce que nous aurons dans notre poche dans les années à venir.
Samsung a présenté le prototype d’un écran qui s’enroule autour d’un cylindre. Cela rappelle étrangement un brevet déposé par la compagnie.
L’écran OLED fait 5,7 pouces et il est Full HD (1920 x 1080 pixels). Il mesure juste 0,3 mm et pèse 5 g. Il peut être enroulé sur un tube avec un rayon de 10 mm.
Ce prototype ne sera certainement pas le smartphone qui verra le jour l’année prochaine. Pour être utilisable, il faut rajouter sur cet écran pliable une couche protectrice, un film tactile et une batterie. Le tube dans lequel l’écran s’enroule devrait être tout de suite beaucoup plus gros.
Cet écran flexible laisse tout de même entrevoir toutes les possibilités pour les prochains smartphones Samsung.
D’après la rumeur collective, Samsung devrait lancer le premier smartphone pliable en 2017. Pour le moment, la firme coréenne a déposé beaucoup de brevets pour différents smartphones pliables mais nous n’avons toujours pas vu la technologie en action.
Le grand rendez-vous de tous les constructeurs d’écrans de la planète nous donne l’occasion de découvrir ce que nous aurons dans notre poche dans les années à venir.
Samsung a présenté le prototype d’un écran qui s’enroule autour d’un cylindre. Cela rappelle étrangement un brevet déposé par la compagnie.
L’écran OLED fait 5,7 pouces et il est Full HD (1920 x 1080 pixels). Il mesure juste 0,3 mm et pèse 5 g. Il peut être enroulé sur un tube avec un rayon de 10 mm.
Ce prototype ne sera certainement pas le smartphone qui verra le jour l’année prochaine. Pour être utilisable, il faut rajouter sur cet écran pliable une couche protectrice, un film tactile et une batterie. Le tube dans lequel l’écran s’enroule devrait être tout de suite beaucoup plus gros.
Cet écran flexible laisse tout de même entrevoir toutes les possibilités pour les prochains smartphones Samsung.
Le géant américain de l'informatique Microsoft a annoncé la suppression de 1.850 emplois dans sa division fabriquant des smartphones, et un responsable syndical finlandais a affirmé que le groupe cesserait d'en produire. Dans un communiqué, Microsoft a rendu publique sa décision de "rationaliser" cette division, ce qui "aboutira à la suppression de jusqu'à 1.350 emplois chez Microsoft Mobile en Finlande, ainsi que de 500 autres emplois dans le reste du monde".
"Nous concentrons nos efforts dans les téléphones là où nous pouvons faire une différence", a déclaré Satya Nadella, le patron du groupe, cité dans le communiqué. Mais un délégué du personnel de Microsoft Mobile, Kalle Kiili, a précisé à l'AFP que cela signifiait un arrêt de la conception et de la production.
Plus d'appareils mais des logiciels
Microsoft "ne fabriquera plus d'appareils, du moins pour le moment. Il fera des logiciels, cependant", a-t-il déclaré. L'agence de presse finlandaise STT a cité le directeur des ventes d'appareils mobiles de l'américain, Chris Weber, qui a confirmé l'information. Le groupe, qui avait acheté cette activité au finlandais Nokia en 2014, a annoncé une provision de 950 millions de dollars pour restructuration.
Fin d'un fleuron de l'industrie finlandaise
Pour la Finlande, cette décision signe pour l'heure la fin d'une industrie qui avait fait la fierté d'un petit pays où avait émergé un champion mondial. Nokia aura été numéro un du téléphone portable de 1998 à 2011. Mais après l'arrivée du smartphone et le succès fulgurant de l'iPhone lancé par Apple en 2007, ses parts de marché et sa rentabilité avaient fondu, et il avait cédé cette activité pour 5,4 milliards d'euros, afin de se concentrer sur les équipements télécoms.
Salariés de Microsoft
L'annonce a surpris les salariés de Microsoft, selon M. Kiili. "On avait des rumeurs nous disant que quelque chose allait se passer, mais pas que tout allait disparaître", a-t-il souligné. Microsoft avait déjà annoncé une semaine auparavant la vente pour 350 millions de dollars de la fabrication de téléphones de base au finlandais HMD Global, contrôlé par des anciens de Nokia, et à l'industriel taïwanais Foxconn. D'après le cabinet Gartner, la part de marché mondiale des smartphones sous Windows a été divisée par plus de trois en un an, chutant à 0,7% au premier trimestre contre 2,5% un an auparavant.
"Nous concentrons nos efforts dans les téléphones là où nous pouvons faire une différence", a déclaré Satya Nadella, le patron du groupe, cité dans le communiqué. Mais un délégué du personnel de Microsoft Mobile, Kalle Kiili, a précisé à l'AFP que cela signifiait un arrêt de la conception et de la production.
Plus d'appareils mais des logiciels
Microsoft "ne fabriquera plus d'appareils, du moins pour le moment. Il fera des logiciels, cependant", a-t-il déclaré. L'agence de presse finlandaise STT a cité le directeur des ventes d'appareils mobiles de l'américain, Chris Weber, qui a confirmé l'information. Le groupe, qui avait acheté cette activité au finlandais Nokia en 2014, a annoncé une provision de 950 millions de dollars pour restructuration.
Fin d'un fleuron de l'industrie finlandaise
Pour la Finlande, cette décision signe pour l'heure la fin d'une industrie qui avait fait la fierté d'un petit pays où avait émergé un champion mondial. Nokia aura été numéro un du téléphone portable de 1998 à 2011. Mais après l'arrivée du smartphone et le succès fulgurant de l'iPhone lancé par Apple en 2007, ses parts de marché et sa rentabilité avaient fondu, et il avait cédé cette activité pour 5,4 milliards d'euros, afin de se concentrer sur les équipements télécoms.
Salariés de Microsoft
L'annonce a surpris les salariés de Microsoft, selon M. Kiili. "On avait des rumeurs nous disant que quelque chose allait se passer, mais pas que tout allait disparaître", a-t-il souligné. Microsoft avait déjà annoncé une semaine auparavant la vente pour 350 millions de dollars de la fabrication de téléphones de base au finlandais HMD Global, contrôlé par des anciens de Nokia, et à l'industriel taïwanais Foxconn. D'après le cabinet Gartner, la part de marché mondiale des smartphones sous Windows a été divisée par plus de trois en un an, chutant à 0,7% au premier trimestre contre 2,5% un an auparavant.
Pour cette séance de grimage virtuelle, les choix sont variés.[Capture d'écran Apple Store]
Depuis quelques temps, l’application MSQRD fait le bonheur des possesseurs d’iPhone. Celle-ci permet de modifier son visage en y appliquant toutes sortes d’effets.
Le principe est simple et rappelle, en un peu plus varié, ce que propose Snapchat. Grâce à la reconnaissance faciale, l’application détecte instantanément le visage de l’utilisateur capturé par la caméra frontale du téléphone, et y applique un masque.
Le principe est simple et rappelle, en un peu plus varié, ce que propose Snapchat. Grâce à la reconnaissance faciale, l’application détecte instantanément le visage de l’utilisateur capturé par la caméra frontale du téléphone, et y applique un masque.
Pour cette séance de grimage virtuelle, les choix sont variés. Oreilles de lapins, tête de Leonardo DiCaprio aux côtés de statuettes des Oscars, masque de plongée, il y a de quoi faire. Bien entendu il est possible de capturer ses instants en photos ou en vidéos et de les partager avec le plus grand nombre.
Un must-have, gratuit, pour qui veut envoyer des selfies délirants à ses amis.
Un must-have, gratuit, pour qui veut envoyer des selfies délirants à ses amis.
Face à la pénurie d’essence qui s’installe en France, les automobilistes français se munissent d’applications pour trouver des stations approvisionnées.
Certaines de ces applications sont en tête des téléchargements sur l’appstore d’Apple et sur le Play Store d’Android. Qu’il s’agisse de l’application «Essence», «Essence/Gasoil Now» ou «Fuelio», toutes ont vu leur nombre de téléchargements augmenter en flèche, certaines étant même classées dans le top 5 des applications les plus téléchargées du moment. La pénurie de carburant est une aubaine pour ces applications qui, en temps normal, renseignent principalement sur les prix de l’essence dans les différentes stations françaises.
Certaines de ces applications sont en tête des téléchargements sur l’appstore d’Apple et sur le Play Store d’Android. Qu’il s’agisse de l’application «Essence», «Essence/Gasoil Now» ou «Fuelio», toutes ont vu leur nombre de téléchargements augmenter en flèche, certaines étant même classées dans le top 5 des applications les plus téléchargées du moment. La pénurie de carburant est une aubaine pour ces applications qui, en temps normal, renseignent principalement sur les prix de l’essence dans les différentes stations françaises.
Pour ceux qui ne disposent pas encore d’une telle application, en voici quelques unes qui vous aideront à trouver la station-service approvisionnée la plus proche de chez vous :
Zagaz
Développée par la société Atomusk, l'application propose une recherche de station par type de carburant, mais aussi un système d’alerte qui informe l’usager dès qu'une station pratiquant des tarifs inférieurs a été localisée. Sur leur site internet, une carte indique les stations-services en rupture de carburant. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Développée par la société Atomusk, l'application propose une recherche de station par type de carburant, mais aussi un système d’alerte qui informe l’usager dès qu'une station pratiquant des tarifs inférieurs a été localisée. Sur leur site internet, une carte indique les stations-services en rupture de carburant. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Essence / Gasoil Now
Développée par la société 03 July Apps Creator, l'application propose un calcul des économies réalisées en fonction des stations-services visitées. Les informations sont fournies par le site officiel des prix des carburants de l’Etat, et plus 10.000 stations y sont référencées. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Développée par la société 03 July Apps Creator, l'application propose un calcul des économies réalisées en fonction des stations-services visitées. Les informations sont fournies par le site officiel des prix des carburants de l’Etat, et plus 10.000 stations y sont référencées. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Essence
Développée par 31APP, Inc. L’application recense les stations-services touchées par la pénurie. Elle permet également de géolocaliser les stations les plus proches, mais semble être victime de son succès : de nombreux internautes ne parviennent plus à s’y connecter en raison du trop grand nombre d’usagers. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Développée par 31APP, Inc. L’application recense les stations-services touchées par la pénurie. Elle permet également de géolocaliser les stations les plus proches, mais semble être victime de son succès : de nombreux internautes ne parviennent plus à s’y connecter en raison du trop grand nombre d’usagers. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Carbeo.com
Développée par Fuel Media Service Sprl. L’application propose à chaque usager de personnaliser sa recherche d’une station en entrant des critères précis. Les données sont collectées non seulement auprès des utilisateurs, mais aussi auprès des exploitants et gérants des stations. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Développée par Fuel Media Service Sprl. L’application propose à chaque usager de personnaliser sa recherche d’une station en entrant des critères précis. Les données sont collectées non seulement auprès des utilisateurs, mais aussi auprès des exploitants et gérants des stations. Disponible gratuitement sur iOS et Android.
Le LG G5 se présente comme le premier Smartphone modulaire.
Contrairement à ses prédécesseurs, la batterie du LG G5 est amovible et coulissante. Cela signifie qu’il n’est plus nécessaire d’enlever la coque métallique pour avoir accès à la batterie. Il suffit de tirer sur le bas du Smartphone et le tour est joué !
Le Smartphone arbore une robe toute en aluminium. Le design est plus raffiné que ses prédécesseurs.
Le constructeur coréen a choisi un écran de 5,3 pouces pour une densité de 554 pixels par pouce pour le terminal.
Il dispose de 32 Go de mémoire. La capacité de stockage peut s’étendre avec l’ajout d’une carte microSD. Le terminal est propulsé par le nouveau processeur de Qualcomm, Snapdragon 820. Il utilise le système d’exploitation Android 6,0 Marshmallow.
Il est doté de deux caméras. Celle de l’avant est de huit méga pixels avec un grand-angle de 135 degrés, alors que la caméra arrière est de seize méga pixels avec un angle de 78 degrés. Outre le double capteur, il y a aussi un double flash LED, un autofocus laser et un capteur RGB.
Une autre nouveauté : les touches de volume reprennent leur place sur les tranches de l’appareil. Mais le bouton de mise sous tension cliquable est toujours au dos de l’appareil. D’ailleurs, un scanneur d’empreintes digitales y est incorporé.
Le Smartphone est accompagné d’une collection d’appareils, LG Friends, pour répondre aux besoins des consommateurs :
LG Cam Plus – une caméra pour prendre des photos avec une main
LG Hi-Fi Plus avec B & O Play – un lecteur audio avec un convertisseur et amplificateur 32 Bit DAC
LG 360 VR – casque de réalité virtuelle
LG 360 CAM – appareil permettant de capturer des photos et des vidéos à 360 degrés
LG Rolling Bot – une balle permettant de capturer des photos et des vidéos en huit méga pixels et est directement connecté au Wi-Fi. LG Rolling Bot est décrit comme Smart home monitoring, soit un système de surveillance pour la maison.
Le Smartphone arbore une robe toute en aluminium. Le design est plus raffiné que ses prédécesseurs.
Le constructeur coréen a choisi un écran de 5,3 pouces pour une densité de 554 pixels par pouce pour le terminal.
Il dispose de 32 Go de mémoire. La capacité de stockage peut s’étendre avec l’ajout d’une carte microSD. Le terminal est propulsé par le nouveau processeur de Qualcomm, Snapdragon 820. Il utilise le système d’exploitation Android 6,0 Marshmallow.
Il est doté de deux caméras. Celle de l’avant est de huit méga pixels avec un grand-angle de 135 degrés, alors que la caméra arrière est de seize méga pixels avec un angle de 78 degrés. Outre le double capteur, il y a aussi un double flash LED, un autofocus laser et un capteur RGB.
Une autre nouveauté : les touches de volume reprennent leur place sur les tranches de l’appareil. Mais le bouton de mise sous tension cliquable est toujours au dos de l’appareil. D’ailleurs, un scanneur d’empreintes digitales y est incorporé.
Le Smartphone est accompagné d’une collection d’appareils, LG Friends, pour répondre aux besoins des consommateurs :
LG Cam Plus – une caméra pour prendre des photos avec une main
LG Hi-Fi Plus avec B & O Play – un lecteur audio avec un convertisseur et amplificateur 32 Bit DAC
LG 360 VR – casque de réalité virtuelle
LG 360 CAM – appareil permettant de capturer des photos et des vidéos à 360 degrés
LG Rolling Bot – une balle permettant de capturer des photos et des vidéos en huit méga pixels et est directement connecté au Wi-Fi. LG Rolling Bot est décrit comme Smart home monitoring, soit un système de surveillance pour la maison.
Technologie : En marge de sa conférence I/O, le géant de Mountain View a confirmé que le développement de son projet se poursuivait. Une version développeur sera proposée à l'automne.
Ara est le nom de code du projet de Google de smartphone modulaire. Le concept : permettre à des fabricants de concevoir un téléphone sur mesure à partir de modules indépendants capables de communiquer entre eux et fixés par des aimants électro-permanents.
Très séduisant sur le papier, le projet en développement depuis plusieurs années peine à devenir réalité. Au point que certains l'avait presque enterré. En 205, Google repoussait déjà sa présentation à 2016 expliquant que le terminal n’est pas prêt pour quitter la phase du prototype. Déjà, le géant avait renoncé à lancer son test, planifié de longue date, à Porto Rico.
Mais visiblement, les choses ont avancé. Peut-être piqué au vif par la sortie du LG G5, qui joue également la carte de la modularité, Google a intensifié ses efforts au point de communiquer sur la question. En marge de sa conférence I/O, Wired a pu manipuler un prototype. Une version développeur sera proposée à l'automne et un lancement est prévu pour 2017. Et une nouvelle vidéo a été publiée par Google.
Très séduisant sur le papier, le projet en développement depuis plusieurs années peine à devenir réalité. Au point que certains l'avait presque enterré. En 205, Google repoussait déjà sa présentation à 2016 expliquant que le terminal n’est pas prêt pour quitter la phase du prototype. Déjà, le géant avait renoncé à lancer son test, planifié de longue date, à Porto Rico.
Mais visiblement, les choses ont avancé. Peut-être piqué au vif par la sortie du LG G5, qui joue également la carte de la modularité, Google a intensifié ses efforts au point de communiquer sur la question. En marge de sa conférence I/O, Wired a pu manipuler un prototype. Une version développeur sera proposée à l'automne et un lancement est prévu pour 2017. Et une nouvelle vidéo a été publiée par Google.
Selon le site, Google a un peu du réduire ses ambitions. Processeur et mémoire vive ne seront pas modulaires et seront fixés sur un châssis faisant office de squelette, accueillant les modules comme l'écran (5,3 pouces), le module caméra, le module son ou même des modules physiques comme une béquille...
Ces modules pourront être manipulés à travers une application qui affichera "le plan" du smartphone afin de déconnecter et connecter les modules (6 ports seraient disponibles).
Cette action pourrait être pilotée à la voix également. Prometteur.
Outre l'innovation en matière de design, Google espère qu'Ara pourra répondre allonger la durée de vie des smartphones, plaçant Ara dans une démarche écologique. Pourquoi pas. Mais c'est bien un nouveau business que veut créer le géant dans un marché du smartphone qui commence à s'essouffler
Business qui décollera à plusieurs conditions : que le système physique de connexion soit véritablement solide dans le temps.
Et que des fabricants tiers proposent une large gamme de modules, originaux et variés.
En matière de réalité virtuelle, il faut choisir son camp. D’un côté, il y a les casques qui se branchent à un PC ou à une console, comme l’Oculus Rift ou le Playstation VR. De l’autre, des solutions mobiles, en glissant son smartphone derrière des lentilles, comme le Gear VR de Samsung. C’est sur cette dernière approche que mise Google avec sa plateforme DayDream, qui sera lancée sur Android à l’automne. Mercredi, l’entreprise a annoncé une dizaine de partenaires, qui fabriqueront des smartphones compatibles et plusieurs casques. Jeudi, le vice-président en charge de la réalité virtuelle, Clay Bavor, a confirmé que Google planchait également sur un appareil maison. Selon lui, l’approche mobile est la seule, pour l’instant, qui permettra de « démocratiser la réalité virtuelle ».
Le prix
« L’expérience de la réalité virtuelle doit pouvoir être vécue par tous », estime Bavor. Il n’a pas précisé le prix des futurs appareils mais cela sera sans doute proche du Gear VR de Samsung : environ 100 euros pour le casque et 500-750 euros pour un smartphone haut de gamme. C’est entre deux et trois fois moins que pour l’Oculus Rift ou le HTC Vive avec un PC gamer. Surtout, d’ici deux ans, la plupart des nouveaux smartphones seront compatibles avec DayDream, et la barrière d’entrée sera alors presque inexistante. Comme avec Android, Google veut fournir la plateforme et s’appuyer sur des partenaires pour la faire décoller.
La liberté
Etre transporté dans un monde virtuel est un trip incroyable. Notre cerveau et nos sens sont trompés par l’illusion, avec une sensation de « présence » impossible à décrire sans en faire l’expérience. Le problème des solutions surpuissantes, c’est que l’on reste attaché par un cordon ombilical entre le casque et le PC. En marchant dans son salon avec le Vive, ou en tournicotant sur sa chaise de bureau avec le Rift, on s’emmêle vite. Les solutions mobiles n’ont pas ce problème. Et avec son « Project Tango », qui permet de modéliser en 3D une pièce, Google pourrait offrir des expériences innovantes.
Les limites
Sur le papier, la réalité virtuelle mobile peut offrir une liberté absolue. Avec une grosse limitation actuelle : l’absence de « positional tracking ». Traduction : on peut tourner la tête pour admirer le paysage mais on ne peut pas se pencher pour regarder sous une table, s’accroupir pour éviter un missile, ou simplement marcher pour se déplacer dans le monde virtuel. Il faut utiliser une manette, ce qui limite l’immersion.
Pour suivre les mouvements de l’utilisateur, le HTC Vive utilise des stations installées dans la pièce. Google, comme John Carmack chez Oculus, travaille dur sur ce défi. L’entreprise de Mountain View pourrait s’appuyer sur la modélisation intérieure de Project Tango, mais aussi sur les mini-radars du Project Soli.
Il ne s’agit cependant pas que d’un problème de capteurs – déjà résolu par Microsoft avec HoloLens. Il faut aussi économiser la batterie du smartphone et éviter la surchauffe du processeur. De l’autre côté, les solutions « câblées » attendent des progrès du wifi, encore loin d’offrir des débits suffisants pour une latence inférieure à 20 ms sur du streaming 4K non-compressé. Comme souvent, ce n’est sans doute qu’une question de temps.
Le prix
« L’expérience de la réalité virtuelle doit pouvoir être vécue par tous », estime Bavor. Il n’a pas précisé le prix des futurs appareils mais cela sera sans doute proche du Gear VR de Samsung : environ 100 euros pour le casque et 500-750 euros pour un smartphone haut de gamme. C’est entre deux et trois fois moins que pour l’Oculus Rift ou le HTC Vive avec un PC gamer. Surtout, d’ici deux ans, la plupart des nouveaux smartphones seront compatibles avec DayDream, et la barrière d’entrée sera alors presque inexistante. Comme avec Android, Google veut fournir la plateforme et s’appuyer sur des partenaires pour la faire décoller.
La liberté
Etre transporté dans un monde virtuel est un trip incroyable. Notre cerveau et nos sens sont trompés par l’illusion, avec une sensation de « présence » impossible à décrire sans en faire l’expérience. Le problème des solutions surpuissantes, c’est que l’on reste attaché par un cordon ombilical entre le casque et le PC. En marchant dans son salon avec le Vive, ou en tournicotant sur sa chaise de bureau avec le Rift, on s’emmêle vite. Les solutions mobiles n’ont pas ce problème. Et avec son « Project Tango », qui permet de modéliser en 3D une pièce, Google pourrait offrir des expériences innovantes.
Les limites
Sur le papier, la réalité virtuelle mobile peut offrir une liberté absolue. Avec une grosse limitation actuelle : l’absence de « positional tracking ». Traduction : on peut tourner la tête pour admirer le paysage mais on ne peut pas se pencher pour regarder sous une table, s’accroupir pour éviter un missile, ou simplement marcher pour se déplacer dans le monde virtuel. Il faut utiliser une manette, ce qui limite l’immersion.
Pour suivre les mouvements de l’utilisateur, le HTC Vive utilise des stations installées dans la pièce. Google, comme John Carmack chez Oculus, travaille dur sur ce défi. L’entreprise de Mountain View pourrait s’appuyer sur la modélisation intérieure de Project Tango, mais aussi sur les mini-radars du Project Soli.
Il ne s’agit cependant pas que d’un problème de capteurs – déjà résolu par Microsoft avec HoloLens. Il faut aussi économiser la batterie du smartphone et éviter la surchauffe du processeur. De l’autre côté, les solutions « câblées » attendent des progrès du wifi, encore loin d’offrir des débits suffisants pour une latence inférieure à 20 ms sur du streaming 4K non-compressé. Comme souvent, ce n’est sans doute qu’une question de temps.
Les ventes de smartphones ont progressé de 3,9% au 1er trimestre 2016 par rapport à la même époque un an plus tôt, avec quelque 349 millions d'unités vendues dans le monde, selon Gartner.
Samsung demeure le leader incontesté du marché, avec pas moins de 81,186 millions de terminaux écoulés, soit une part de marché de 23,2%.
Derrière, Apple affiche 51,629M de ventes (14,8% de parts de marché). Suivent Huawei (28,8M, 8,3%), Oppo (16,1M, 4,6%) et Xiaomi (15M, 4,3%).
En ce qui concerne les systèmes d'exploitation, Android et iOS concentrent à eux seuls 98,9% des ventes de smartphones (84,1% pour Android et 14,8% pour iOS). Les ventes de terminaux sous Windows (0,7%) ou BlackBerry (0,2%) deviennent anecdotiques.
Samsung demeure le leader incontesté du marché, avec pas moins de 81,186 millions de terminaux écoulés, soit une part de marché de 23,2%.
Derrière, Apple affiche 51,629M de ventes (14,8% de parts de marché). Suivent Huawei (28,8M, 8,3%), Oppo (16,1M, 4,6%) et Xiaomi (15M, 4,3%).
En ce qui concerne les systèmes d'exploitation, Android et iOS concentrent à eux seuls 98,9% des ventes de smartphones (84,1% pour Android et 14,8% pour iOS). Les ventes de terminaux sous Windows (0,7%) ou BlackBerry (0,2%) deviennent anecdotiques.
Dans son étude trimestrielle, Gartner montre que les constructeurs chinois, Huawei, Xiaomi et surtout Oppo deviennent des marques mondiales. Android renforce son hégémonie.
Samsung a maintenu sa première place de vendeur de smartphones au cour du premier trimestre 2016. Le constructeur coréen en a vendu plus de 81 millions, (très) légèrement plus qu’il y a un an à la même période même si sa part de marché s’érode légèrement : 23,2% contre 24,1% au premier trimestre 2015, rapporte le cabinet Gartner.
Apple ne peut pas en dire autant. Ses ventes s’effondrent et passent de plus de 60 millions à moins de 52 millions d’iPhone. La part de marché suit la même tendance. La firme de Cupertino n’occupe plus que 14,8% du marché des smartphones contre près de 18% douze mois auparavant.
Trois chinois dans le classement mondial
Les constructeurs chinois en profitent. Oppo en premier lieu dont les ventes passent de 6,5 millions à plus de 16 millions sur la période. Soit une hausse de 145% de ses ventes. Et fait plus que doubler sa part de marché qui passe de 2% à 4,6%. Huawei profite de son ascension en Europe, Afrique et Amérique pour vendre plus de 10 millions de téléphones de plus en un an (avec 28,8 millions d’unités contre 18 millions en 2015). Et occupe aujourd’hui 8,3% du marché. Après son ascension fulgurante, Xiaomi a aujourd’hui plus de mal. Ses ventes frôlent la stagnation : 15 millions contre 14,7 précédemment pour une part de marché en léger retrait (4,3% contre 4,4%).
Sur les 5 premiers vendeurs de smartphones au monde, trois sont donc aujourd’hui chinois. « Avec un tel changement de dynamique du marché des smartphones, les constructeurs chinois sont en train de devenir les nouvelles grandes marques mondiales », commente Anshul Gupta, directeur de recherche au Gartner. Et leur présence est passé de 11% et deux acteurs en 2015 à 17% et trois protagonistes en 2016.
L’hégémonie Android
Au total, le trimestre a connu une modeste hausse de 3,9% avec 349 millions de smartphones vendus. Les smartphones représentent désormais 78% des ventes totales de téléphones mobiles au premier trimestre 2016, selon Gartner. Des ventes essentiellement tirées par les terminaux 4G de milieu de gamme et par les entrées de gamme dans les pays émergents. Un défi pour la rentabilité des constructeurs de modèles sous Android condamnés à jouer sur les volumes.
Cela se ressent : l’OS de Google alimente plus de 84% des smartphones vendus sur la période (plus de 293 millions de ventes) contre 78,8% il y a un an. iOS n’est pas le seul à perdre du terrain (-14,2%), les ventes de Windows Phone ne sont plus que l’ombre d’elles mêmes avec 0,7% du marché des OS et 2,4 millions d’unités (contre près de 8,3 un an auparavant). Blackberry est à la limite de la disparition : ses 660 000 ventes (deux fois plus en 2015) ne lui laissent plus que 0,2% du marché.
Samsung a maintenu sa première place de vendeur de smartphones au cour du premier trimestre 2016. Le constructeur coréen en a vendu plus de 81 millions, (très) légèrement plus qu’il y a un an à la même période même si sa part de marché s’érode légèrement : 23,2% contre 24,1% au premier trimestre 2015, rapporte le cabinet Gartner.
Apple ne peut pas en dire autant. Ses ventes s’effondrent et passent de plus de 60 millions à moins de 52 millions d’iPhone. La part de marché suit la même tendance. La firme de Cupertino n’occupe plus que 14,8% du marché des smartphones contre près de 18% douze mois auparavant.
Trois chinois dans le classement mondial
Les constructeurs chinois en profitent. Oppo en premier lieu dont les ventes passent de 6,5 millions à plus de 16 millions sur la période. Soit une hausse de 145% de ses ventes. Et fait plus que doubler sa part de marché qui passe de 2% à 4,6%. Huawei profite de son ascension en Europe, Afrique et Amérique pour vendre plus de 10 millions de téléphones de plus en un an (avec 28,8 millions d’unités contre 18 millions en 2015). Et occupe aujourd’hui 8,3% du marché. Après son ascension fulgurante, Xiaomi a aujourd’hui plus de mal. Ses ventes frôlent la stagnation : 15 millions contre 14,7 précédemment pour une part de marché en léger retrait (4,3% contre 4,4%).
Sur les 5 premiers vendeurs de smartphones au monde, trois sont donc aujourd’hui chinois. « Avec un tel changement de dynamique du marché des smartphones, les constructeurs chinois sont en train de devenir les nouvelles grandes marques mondiales », commente Anshul Gupta, directeur de recherche au Gartner. Et leur présence est passé de 11% et deux acteurs en 2015 à 17% et trois protagonistes en 2016.
L’hégémonie Android
Au total, le trimestre a connu une modeste hausse de 3,9% avec 349 millions de smartphones vendus. Les smartphones représentent désormais 78% des ventes totales de téléphones mobiles au premier trimestre 2016, selon Gartner. Des ventes essentiellement tirées par les terminaux 4G de milieu de gamme et par les entrées de gamme dans les pays émergents. Un défi pour la rentabilité des constructeurs de modèles sous Android condamnés à jouer sur les volumes.
Cela se ressent : l’OS de Google alimente plus de 84% des smartphones vendus sur la période (plus de 293 millions de ventes) contre 78,8% il y a un an. iOS n’est pas le seul à perdre du terrain (-14,2%), les ventes de Windows Phone ne sont plus que l’ombre d’elles mêmes avec 0,7% du marché des OS et 2,4 millions d’unités (contre près de 8,3 un an auparavant). Blackberry est à la limite de la disparition : ses 660 000 ventes (deux fois plus en 2015) ne lui laissent plus que 0,2% du marché.