Samsung continue d’orchestrer le teasing du Galaxy Note 5 quelques jours avant sa présentation. La marque coréenne a partagé sur son blog sept raisons de préférer les smartphones à écran géant. La démarche n’est bien sûr pas anodine, mais c’est l’occasion pour nous de vous donner notre point de vue et de connaître le vôtre sur la question.
Cela ne vous a pas échappé, les smartphones ont des écrans de plus en plus grands. Cela répond à une tendance globale du marché qui montre que vous êtes très nombreux à plébisciter les écrans de plus de 5 pouces. Samsung est au cœur de cette tendance dans la mesure ou c’est bien la gamme Note qui a propulsé ce segment dès 2011 avec le Galaxy Note premier du nom.
Aujourd’hui nous en sommes à la 5e version qui devrait faire 5,7 pouces, ce qui n’est plus très éloigné des smartphones « classiques » qui font presque tous plus de 5 pouces. De quoi brouiller de plus en plus les pistes entre les gammes. Revenons sur cet article de blog de Samsung qui tente de nous convaincre avec un « Pourquoi plus grand, c’est mieux » (pas d’esprit mal placé, hein).
Plus grand, c’est mieux ?
Dans les raisons évoquées, on retrouve la prise de photos et de vidéos. Si Samsung concède que cela ne fait pas la qualité du capteur photo, avoir un grand écran de bonne qualité permet de mieux capturer les contenus multimédias et également les éditer. Sur ces deux points, cela se défend. Quand on regarde ses photos sur un Note 4 par exemple il y a souvent un effet « waouh » de l’écran que l’on ne retrouve pas forcément après sur son PC.
Aujourd’hui nous en sommes à la 5e version qui devrait faire 5,7 pouces, ce qui n’est plus très éloigné des smartphones « classiques » qui font presque tous plus de 5 pouces. De quoi brouiller de plus en plus les pistes entre les gammes. Revenons sur cet article de blog de Samsung qui tente de nous convaincre avec un « Pourquoi plus grand, c’est mieux » (pas d’esprit mal placé, hein).
Plus grand, c’est mieux ?
Dans les raisons évoquées, on retrouve la prise de photos et de vidéos. Si Samsung concède que cela ne fait pas la qualité du capteur photo, avoir un grand écran de bonne qualité permet de mieux capturer les contenus multimédias et également les éditer. Sur ces deux points, cela se défend. Quand on regarde ses photos sur un Note 4 par exemple il y a souvent un effet « waouh » de l’écran que l’on ne retrouve pas forcément après sur son PC.
L’argument de la lecture est bien sûr mis en avant. Pour surfer sur le web, cela signifie plus de contenu affiché, et même la possibilité de séparer l’écran en deux et d’afficher un autre contenu à côté comme Twitter ou Facebook. Je ne sais pas si vous séparez souvent votre écran en deux, mais c’est toujours sympa d’en avoir la possibilité.
Pour la messagerie et les emails, je trouve que l’argument tient un peu moins la route. Samsung met en avant la plus grande facilité de frappes sur un écran large, mais elle est déjà très bonne sur un écran de 5 pouces, surtout lorsqu’on a un très bon clavier (comme Swiftkey au hasard). Et sur 5 pouces, on peut encore tenter d’écrire à une main, ce qui n’est pas le cas sur 5,7 pouces. Et si vous choisissez de rabattre le clavier sur un côté de l’écran, vous perdez l’argument du confort de frappe !
On passe ensuite à un usage professionnel, ou le S-Pen prend ici toute sa dimension. Il faut dire que vous annoter des documents ou découper du contenu, si vous n’avez pas de stylet cela devient trop compliqué à l’usage. C’est surement grâce au S-Pen et sa suite logicielle que la gamme Note reste la meilleure pour un usage professionnel. L’argument tient la route.
Les deux derniers points abordés sont la lecture de vidéos et le jeu. Oui un écran plus grand apporte un confort, mais si on garde à l’esprit que l’écran est très proche de nos yeux et que les définitions Quad HD n’apportent pas grand-chose tant que les contenus affichés ne suivent pas, l’intérêt d’un écran toujours plus grand est à relativiser. Ce n’est pas si vous étiez à 2 mètres de votre smartphone quand vous jouez ou regardez une vidéo.
Pour la messagerie et les emails, je trouve que l’argument tient un peu moins la route. Samsung met en avant la plus grande facilité de frappes sur un écran large, mais elle est déjà très bonne sur un écran de 5 pouces, surtout lorsqu’on a un très bon clavier (comme Swiftkey au hasard). Et sur 5 pouces, on peut encore tenter d’écrire à une main, ce qui n’est pas le cas sur 5,7 pouces. Et si vous choisissez de rabattre le clavier sur un côté de l’écran, vous perdez l’argument du confort de frappe !
On passe ensuite à un usage professionnel, ou le S-Pen prend ici toute sa dimension. Il faut dire que vous annoter des documents ou découper du contenu, si vous n’avez pas de stylet cela devient trop compliqué à l’usage. C’est surement grâce au S-Pen et sa suite logicielle que la gamme Note reste la meilleure pour un usage professionnel. L’argument tient la route.
Les deux derniers points abordés sont la lecture de vidéos et le jeu. Oui un écran plus grand apporte un confort, mais si on garde à l’esprit que l’écran est très proche de nos yeux et que les définitions Quad HD n’apportent pas grand-chose tant que les contenus affichés ne suivent pas, l’intérêt d’un écran toujours plus grand est à relativiser. Ce n’est pas si vous étiez à 2 mètres de votre smartphone quand vous jouez ou regardez une vidéo.
On vient d’apprendre que Google avait ouvert une entreprise dans l’ombre depuis 2011. Celle-ci est sobrement nommée Google Auto. C’est le journal anglais The Guardian qui le révèle dans un de ses articles.
Le quotidien anglais The Guardian nous apprend que Google a ouvert l’entreprise Google Auto LLC en 2011. La firme californienne avait à la base créé cette entreprise afin de pouvoir travailler sur ses voitures sans chauffeur de marque Lexus.
Faire rouler ses voitures autonomes sous le nom d’une autre entreprise présente surtout de gros avantages légaux. Cela permet à Google de prendre sur ses fonds propres en cas de problème ou d’accident. En cas d’accrochage, les plaintes sont portées contre Google Auto, et non Google. Google a surement bien fait de prendre cette précaution. Quelques accidents ont en effet déjà eu lieu avec ces voitures autonomes.
Mais depuis 2014, Google Auto a étendu ses droits. L’entreprise peut depuis cette date fabriquer ses propres automobiles. C’est sans doute grâce à ce nouveau statut qu’elle a pu mettre au point ses prototypes de voitures autonomes que l’on peut voir rouler dans la campagne californienne.
Ces véhicules ont déjà atteint un niveau de performance assez impressionnant. Après avoir roulé sur circuit ou sur des zones très précises et limitées, les Google Cars peuvent maintenant emprunter les routes habituelles. Même si les accrochages arrivent, Google nous garantit que les causes en sont toujours imputables aux humains.
L’entreprise travaille beaucoup sur ses petites voitures en forme d’œuf. Celles-ci ont dans le ventre des moteurs électriques de 20 à 30Kw, et sont assemblées à Detroit dans le Michigan par une entreprise tierce.
Avec son entreprise Google Auto, Google pourra a terme maîtriser l’élaboration de voitures autonomes de A à Z. Pour le moment, aucun nouveau projet concret au niveau de la construction n’a été dévoilé.
Faire rouler ses voitures autonomes sous le nom d’une autre entreprise présente surtout de gros avantages légaux. Cela permet à Google de prendre sur ses fonds propres en cas de problème ou d’accident. En cas d’accrochage, les plaintes sont portées contre Google Auto, et non Google. Google a surement bien fait de prendre cette précaution. Quelques accidents ont en effet déjà eu lieu avec ces voitures autonomes.
Mais depuis 2014, Google Auto a étendu ses droits. L’entreprise peut depuis cette date fabriquer ses propres automobiles. C’est sans doute grâce à ce nouveau statut qu’elle a pu mettre au point ses prototypes de voitures autonomes que l’on peut voir rouler dans la campagne californienne.
Ces véhicules ont déjà atteint un niveau de performance assez impressionnant. Après avoir roulé sur circuit ou sur des zones très précises et limitées, les Google Cars peuvent maintenant emprunter les routes habituelles. Même si les accrochages arrivent, Google nous garantit que les causes en sont toujours imputables aux humains.
L’entreprise travaille beaucoup sur ses petites voitures en forme d’œuf. Celles-ci ont dans le ventre des moteurs électriques de 20 à 30Kw, et sont assemblées à Detroit dans le Michigan par une entreprise tierce.
Avec son entreprise Google Auto, Google pourra a terme maîtriser l’élaboration de voitures autonomes de A à Z. Pour le moment, aucun nouveau projet concret au niveau de la construction n’a été dévoilé.
S’il y a une chose que l’on ne peut pas enlever à Samsung, c’est son souhait constant d’innover. C’est même d’ailleurs l’un des credo de l’entreprise, quoi qu’en disent ses détracteurs. Cette fois encore, le coréen a montré tout son savoir-faire sur le terrain de… la sécurité routière et a inventé le camion transparent. Explications.
Evidemment, Samsung n’a pas créé un camion totalement transparent ou invisible comme le vaisseau des X-Men. Mais sur le terrain de la sécurité routière, son invention est plutôt bien vue, même si elle n’en est pour le moment qu’au stade de prototype.
C’est en Argentine que le géant coréen a inauguré ses nouveaux camions transparents. En réalité, ce sont des camions équipés d’une caméra à l’avant et d’un écran géant à l’arrière du camion. Ainsi, l’automobiliste qui se situe derrière le camion peut voir tout ce qui se trouve devant, comme s’il était transparent grâce à une diffusion sur les écrans à l’arrière de ce qui est filmé à l’avant.
Quelques camions seulement sont équipés de ce dispositif pour le moment puisqu’il s’agit d’un prototype. Ils circulent uniquement en Argentine pour le moment où les routes à sens unique sont très nombreuses et où le transport de marchandises par camion est majoritairement utilisé.
C’est en Argentine que le géant coréen a inauguré ses nouveaux camions transparents. En réalité, ce sont des camions équipés d’une caméra à l’avant et d’un écran géant à l’arrière du camion. Ainsi, l’automobiliste qui se situe derrière le camion peut voir tout ce qui se trouve devant, comme s’il était transparent grâce à une diffusion sur les écrans à l’arrière de ce qui est filmé à l’avant.
Quelques camions seulement sont équipés de ce dispositif pour le moment puisqu’il s’agit d’un prototype. Ils circulent uniquement en Argentine pour le moment où les routes à sens unique sont très nombreuses et où le transport de marchandises par camion est majoritairement utilisé.
C’est l’artiste Leo Burnett originaire de Buenos Aires qui a imaginé ce concept extrêmement intéressant pour la sécurité sur les routes. En Argentine, les routes étant majoritairement à sens unique, les dépassements causent de nombreux accidents. En voyant ce qu’il se passe devant le camion avant de le dépasser, les automobilistes peuvent donc doubler en toute sécurité.
Les résultats des premiers tests sur les camions circulant en Argentine détermineront si le projet peut être étendu à plus grande échelle. Peut-être verront nous dans quelques années les camions transparents sur nos routes.
Les résultats des premiers tests sur les camions circulant en Argentine détermineront si le projet peut être étendu à plus grande échelle. Peut-être verront nous dans quelques années les camions transparents sur nos routes.
Un kayakiste qui avait maladroitement laissé échapper son iPhone 6 Plus au cours d’une sortie dans l’Océan Indien, a eu l’excellente surprise de le récupérer en parfait état de fonctionnement après un séjour de 54 jours en mer.
Lors d’une sortie dans l’Océan Indien, l’homme avait maladroitement laissé tomber son iPhone 6 Plus après être tombé de son kayak. “Je paniquais parce que je pensais que j’allais mourir malgré mon gilet de sauvetage” explique le kayakiste, pourtant expérimenté. “J’ai perdu mon iPhone sans même m’en rendre compte. Je me suis hissé sur le bateau et j’ai entendu un bruit sec mais je pensais que c’était mon gilet de sauvetage.”
Certain de ne jamais le retrouver, le sportif active pourtant la localisation de son iPhone pour tenter de le retrouver… Sans succès. Jusque récemment. Après 54 jours dans l’océan, le smartphone refait surface dans sa pochette de protection. Un couple, qui faisait de la plongée, a retrouvé par hasard le smartphone de son propriétaire et lui a restitué rapidement. Une belle histoire qui montre qu’il est toujours possible de retrouver un iPhone, pour peu qu’il soit toujours en état de fonctionner…
Certain de ne jamais le retrouver, le sportif active pourtant la localisation de son iPhone pour tenter de le retrouver… Sans succès. Jusque récemment. Après 54 jours dans l’océan, le smartphone refait surface dans sa pochette de protection. Un couple, qui faisait de la plongée, a retrouvé par hasard le smartphone de son propriétaire et lui a restitué rapidement. Une belle histoire qui montre qu’il est toujours possible de retrouver un iPhone, pour peu qu’il soit toujours en état de fonctionner…
Après les nombreuses fuites dont il a fait l’objet, le Galaxy Note 5
se dévoile à nouveau à travers une nouvelle série de rendus photos. Il
s’agit de rendus non officiels. Toutefois, ces derniers se basent sur
les vraies images de la phablette, aperçues ces derniers jours, pour
nous donner le meilleur aperçu possible de son design final. Un design
unibody dans la veine de celui du Galaxy S6.
C’est le 13 Août prochain et non en septembre lors de l’IFA que Samsung présentera officiellement son Galaxy Note 5 et son Galaxy S6 Edge+. Le second trimestre 2015 a été difficile pour Samsung. Les Galaxy S6 et S6 Edge n’ont pas obtenu le succès escompté en termes de ventes et aujourd’hui, Samsung entend bien tout miser, non seulement sur sa nouvelle phablette mais surtout sur son prochain smartphone incurvé pour affronter Apple et les deux prochains iPhone, attendus pour septembre.
En termes de design, le Galaxy Note 5 reprendra les grandes lignes du S6 avec un châssis en métal et un dos en verre non plus plat mais avec des bords légèrement incurvés qui n’est pas sans rappeler celui des Xiaomi Mi Note et Mi Note Pro. Une conception qui permettra de rendre la prise en main de nouveau mastodonte de 5,7 pouces, plus agréable, tout en améliorant la partie esthétique.
En termes de caractéristiques techniques, on devrait retrouver un grand écran Super AMOLED de 5,7 pouces et de définition Quad HD 1440p, un processeur octo core Exynos 7420 ou 7422 avec 4 Go de RAM LPDDR4, deux capteurs photo de 16 et 5 Mégapixels et une batterie de 4100 mAh. C’est donc un véritable monstre qui sera annoncé d’ici trois semaines à New York et viendra envahir le marché sans doute au moment de la rentrée.
En termes de design, le Galaxy Note 5 reprendra les grandes lignes du S6 avec un châssis en métal et un dos en verre non plus plat mais avec des bords légèrement incurvés qui n’est pas sans rappeler celui des Xiaomi Mi Note et Mi Note Pro. Une conception qui permettra de rendre la prise en main de nouveau mastodonte de 5,7 pouces, plus agréable, tout en améliorant la partie esthétique.
En termes de caractéristiques techniques, on devrait retrouver un grand écran Super AMOLED de 5,7 pouces et de définition Quad HD 1440p, un processeur octo core Exynos 7420 ou 7422 avec 4 Go de RAM LPDDR4, deux capteurs photo de 16 et 5 Mégapixels et une batterie de 4100 mAh. C’est donc un véritable monstre qui sera annoncé d’ici trois semaines à New York et viendra envahir le marché sans doute au moment de la rentrée.
Officialisé à la mi-juin en Chine, le Samsung Galaxy J5 est sorti cette
semaine en Europe. L’entrée de gamme débarque aujourd’hui chez nous en
précommande sans trop faire de bruit. Son prix est de 229€.
229€, c’est donc le prix fixé en France pour le petit nouveau de la série des J de Samsung. Côté caractéristiques techniques, nous avons : un écran Super Amoled de 5 pouces HD, un Snapdragon 410 cadencé à 1,2 GHz, et 1,5Go de RAM. La mémoire est de 16Go, et le smartphone dispose d’un port micro SD en supplément.
Pour la photo, le Galaxy J5 dispose d’un flash LED à l’avant, avec un capteur 5 mégapixels. A l’arrière, le capteur est de 13 mégapixels. Le téléphone est également Dual SIM, et sa batterie est de 2600mAh.
Avec ces caractéristiques, il entre en concurrence directe avec le Moto G de Motorola. Mais il affrontera aussi plusieurs autres téléphones, car dans cette tranche de prix la concurrence est rude. 229€, c’est l’équivalent du Moto G version 16Go. Le Moto G a certains avantages. Mais les acheteurs seront peut-être séduits par le design du J5, comparable à celui du J1.
Le Samsung Galaxy J5 est en outre disponible pour le moment en trois coloris : noir, blanc et or.
Ce téléphone avait été dévoilé en même temps que le Galaxy J7. Pas de nouvelle actuellement concernant l’arrivée du grand frère sur notre territoire. Pour rappel, celui-ci dispose d’un écran 5,5 pouces, d’un Snapdragon 615 octocore, et d’une batterie 3000mAh.
Le Galaxy J5 saura-t-il séduire malgré la forte concurrence ? Nous en saurons un peu plus dès la semaine prochaine.
Pour la photo, le Galaxy J5 dispose d’un flash LED à l’avant, avec un capteur 5 mégapixels. A l’arrière, le capteur est de 13 mégapixels. Le téléphone est également Dual SIM, et sa batterie est de 2600mAh.
Avec ces caractéristiques, il entre en concurrence directe avec le Moto G de Motorola. Mais il affrontera aussi plusieurs autres téléphones, car dans cette tranche de prix la concurrence est rude. 229€, c’est l’équivalent du Moto G version 16Go. Le Moto G a certains avantages. Mais les acheteurs seront peut-être séduits par le design du J5, comparable à celui du J1.
Le Samsung Galaxy J5 est en outre disponible pour le moment en trois coloris : noir, blanc et or.
Ce téléphone avait été dévoilé en même temps que le Galaxy J7. Pas de nouvelle actuellement concernant l’arrivée du grand frère sur notre territoire. Pour rappel, celui-ci dispose d’un écran 5,5 pouces, d’un Snapdragon 615 octocore, et d’une batterie 3000mAh.
Le Galaxy J5 saura-t-il séduire malgré la forte concurrence ? Nous en saurons un peu plus dès la semaine prochaine.
C’est par la négative que Google a répondu à la mise en demeure déposée par la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés au sujet du droit à l’oubli. La CNIL demandait depuis le 12 juin à ce que la firme californienne applique un déréférencement à l’ensemble de ses moteurs de recherche.
Au cours d’un message posté en ligne, le géant de Mountain View a déclaré rejeter l’injonction de la CNIL lui sommant d’étendre le droit à l’oubli à tous ses moteurs de recherche extra-européens. Nous connaissions son attachement à la collecte de données, en voici une nouvelle preuve. Pour Google, le droit européen ne s’applique qu’à l’Europe.
Pour être plus précis, la CNIL demandait à Google de retirer les liens redirigeant vers des résultats « inadéquats, peu pertinents ou excessifs » suite notamment à la plainte de 60 000 français. Au total, Google a reçu près de 290 000 plaintes portant sur près d’un million de pages. Lorsqu’une plainte a été déposée, les équipes de la firme se chargent alors d’en évaluer sa pertinence et acceptent ou non (environ 30 % de refus) de supprimer le lien litigieux.
Nous disposons de ce droit depuis mai 2014, suite à un arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne. Le désaccord régnant entre Google et la CNIL réside dans le fait que lorsqu’une plainte issue de l’UE est validée par ses équipes, celles-ci n’appliquent les suppressions que sur les domaines européens (.co.uk, .es, .fr,…). La Commission exige qu’il applique ces retraits à son domaine principal, le .com ainsi qu’aux autres domaines internationaux.
Aucun pays ne devrait être capable de contrôler la nature des contenus consultés par un individu résidant dans un autre pays. – Peter Fleischer, Chargé de la protection de la vie privée pour Google
Le géant d’Internet ajoute que supprimer ces liens sur les domaines en dehors de l’Europe n’est pas très pertinent, arguant que seulement 3% des internautes n’utilisent pas la version locale de Google pour effectuer leurs recherches.
Son inquiétude augmente également quant au recul de la Liberté d’expression sur Internet pouvant être causée par une extension du Droit à l’oubli dans de nouveaux pays. La réponse de la CNIL suite à ce « non » devrait être entendue d’ici les deux prochains mois.
Pour être plus précis, la CNIL demandait à Google de retirer les liens redirigeant vers des résultats « inadéquats, peu pertinents ou excessifs » suite notamment à la plainte de 60 000 français. Au total, Google a reçu près de 290 000 plaintes portant sur près d’un million de pages. Lorsqu’une plainte a été déposée, les équipes de la firme se chargent alors d’en évaluer sa pertinence et acceptent ou non (environ 30 % de refus) de supprimer le lien litigieux.
Nous disposons de ce droit depuis mai 2014, suite à un arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne. Le désaccord régnant entre Google et la CNIL réside dans le fait que lorsqu’une plainte issue de l’UE est validée par ses équipes, celles-ci n’appliquent les suppressions que sur les domaines européens (.co.uk, .es, .fr,…). La Commission exige qu’il applique ces retraits à son domaine principal, le .com ainsi qu’aux autres domaines internationaux.
Aucun pays ne devrait être capable de contrôler la nature des contenus consultés par un individu résidant dans un autre pays. – Peter Fleischer, Chargé de la protection de la vie privée pour Google
Le géant d’Internet ajoute que supprimer ces liens sur les domaines en dehors de l’Europe n’est pas très pertinent, arguant que seulement 3% des internautes n’utilisent pas la version locale de Google pour effectuer leurs recherches.
Son inquiétude augmente également quant au recul de la Liberté d’expression sur Internet pouvant être causée par une extension du Droit à l’oubli dans de nouveaux pays. La réponse de la CNIL suite à ce « non » devrait être entendue d’ici les deux prochains mois.
Le selfie n’est plus simplement une question de mode. Il pourrait en effet bientôt devenir un moyen de payement rapide. Pourquoi utiliser la simple empreinte digitale lorsque l’on peut payer de manière beaucoup plus extravagante avec un selfie ? Les fans vont sans doute adorer !
Mastercard a annoncé que l’entreprise allait tester un système de paiement sécurisé par selfie. Il suffirait alors de faire une photo de votre visage pour confirmer un payement. À première vue, cela ne semble pas si sécurisé que ça quand on se souvient qu’il suffisait de mettre une photo de la personne devant la caméra pour permettre le déverrouillage d’un téléphone Android.
Mastercard innove dans le sens où ce n’est pas une photo fixe de votre visage que l’application demandera, mais bien quelque chose qui bouge. La seule chose à faire sera de cligner des yeux devant la caméra frontale de votre téléphone.
Mastercard innove dans le sens où ce n’est pas une photo fixe de votre visage que l’application demandera, mais bien quelque chose qui bouge. La seule chose à faire sera de cligner des yeux devant la caméra frontale de votre téléphone.
L’application sera évidemment testée avant d’être disponible au grand public. Le test se fera sur 500 Américains triés sur le volet. Aucune date n’a été mentionnée par l’entreprise pour un déploiement mondial maison se doute que cela dépendra des résultats des tests.
Il ne s’agirait donc pas d’un coup de pub de Mastercard mais d’une idée que l’entreprise compte bien mener jusqu’au bout !
Une autre question subsiste : est-ce que Mastercard arrivera à différencier des frères ou soeurs jumeaux ? Cela pourrait vite devenir un problème…
Il ne s’agirait donc pas d’un coup de pub de Mastercard mais d’une idée que l’entreprise compte bien mener jusqu’au bout !
Une autre question subsiste : est-ce que Mastercard arrivera à différencier des frères ou soeurs jumeaux ? Cela pourrait vite devenir un problème…
Charlie Miller et Chris Valasek sont deux chercheurs en sécurité qui se sont mis dans la peau de deux hackers dans le cadre d’une expérience réalisée par le magazine américain Wired. Les deux “pirates informatiques” ont pris le contrôle d’une Jeep Cherokee à distance sur une autoroute.
Le journaliste américain Andy Greenberg et sa voiture ont ainsi servi de cobayes aux deux hackers qui souhaitaient démontrer les risques que représente le piratage informatique pour les conducteurs. Les deux chercheurs en sécurité qui ont développé un outil permettant de pirater le système Uconnect (présent dans les Jeep Cherokee) ont pris le contrôle du volant, du tableau de bord, de l’accélérateur ou encore des freins. Le véhicule a même sa course dans un fossé.
Pour résoudre ces failles de sécurité, le constructeur a mis en ligne une mise à jour de son logiciel de navigation que les conducteurs doivent installer à l’aide d’une clé USB.
Si les analystes prédisent déjà une dégringolade du chiffre
d’affaires d’Apple au lancement de l’iPhone 6s, le groupe américain
semble nager à contre-courant en prédisant des ventes exceptionnelles
pour son futur flagship.
Ce n’est un secret pour personne, l’iPhone 6s n’est pas forcément
attendu comme une révolution par les médias. Le géant du mobile devrait
en effet se contenter de quelques améliorations au niveau du logiciel et
du hardware. Pas de quoi s’enflammer à l’idée de voir atterrir le
nouveau terminal en magasin… Depuis quelques mois, les analystes
prédisent d’ailleurs un effondrement du chiffre d’affaires d’Apple.
Qu’à cela ne tienne, cela n’empêche visiblement pas Apple de voir
grand, très grand même pour son nouveau flagship. D’après les commandes
du géant américain, l’iPhone 6s devrait représenter le plus gros
lancement de produit de la marque américaine. Apple s’attend en effet à
voir son chiffre d’affaires bondir de près de 20% au prochain trimestre,
par rapport à la même période l’année dernière, avec un chiffre
d’affaires qui pourrait atteindre 51 milliards de dollars. Si le succès
venait à se vérifier, autant dire que la marque californienne
réaliserait une excellente opération en bourse au cours des mois suivant
le lancement de l’iPhone 6s…
Nous sommes le 29 Juillet et c’est le grand jour pour Microsoft
puisque Windows 10 est officiellement disponible en version finale. La
firme de Redmond mise gros avec son nouvel OS suite à l’accueil mitigé
de Windows 8. Cette fois, l’entreprise voit les choses en grand et offre
un système bardé de nouveautés avec pour objectif de séduire 1 milliard
d’utilisateurs en trois ans.
Ainsi, la mise à jour vers Windows
10 est gratuite pour les détenteurs d’une licence de Windows 7 ou 8 (non
piratée évidemment) pendant la première année à partir d’aujourd’hui.
Néanmoins, tous les utilisateurs ne pourront pas en profiter en même
temps et selon les appareils qu’ils possèdent. Tous ne pourront pas non
plus l’avoir gratuitement. On fait le point sur cette question. Voici donc comment obtenir Windows 10.
Si vous avez un PC sous Windows 7 ou 8.1 à jour
Si vous utilisez un ou plusieurs ordinateurs sous Windows 7 ou 8.1 et qu’ils sont à jour, la mise à jour vers Windows 10 est gratuite. Attention de ne pas attendre trop longtemps avant de franchir le pas, la gratuité n’est valable que la première année à partir du 29 Juillet 2015. Par ailleurs l’installation est extrêmement simple.
Si votre machine est bien à jour, vous devriez voir apparaître une petite icône dans votre barre des tâches en bas à droite vous signalant que la mise à jour de Windows 10 est disponible. Si tout est bien à jour et que vous n’avez pas cette icône, Microsoft a publié un guide (malheureusement compliqué) pour la faire apparaître.
Si vous utilisez un ou plusieurs ordinateurs sous Windows 7 ou 8.1 et qu’ils sont à jour, la mise à jour vers Windows 10 est gratuite. Attention de ne pas attendre trop longtemps avant de franchir le pas, la gratuité n’est valable que la première année à partir du 29 Juillet 2015. Par ailleurs l’installation est extrêmement simple.
Si votre machine est bien à jour, vous devriez voir apparaître une petite icône dans votre barre des tâches en bas à droite vous signalant que la mise à jour de Windows 10 est disponible. Si tout est bien à jour et que vous n’avez pas cette icône, Microsoft a publié un guide (malheureusement compliqué) pour la faire apparaître.
Attention, n’espérez pas recevoir Windows 10 dès maintenant. Si vous l’avez estimez-vous chanceux puisque Microsoft a prévu de le déployer lentement pour parer aux éventuels bugs qui pourraient toucher les premières installations. Windows 10 pourrait être disponible dans des délais de plusieurs semaines.
Si votre PC n’est pas à jour
Vous avez Windows 7 ou 8.1 mais vous ne voyez pas l’icône, il se peut que votre PC ne soit pas à jour. Vérifiez donc que vous avez bien la dernière mise à jour en date. Si vous avez Windows 7 vérifiez que vous avez bien fait la mise à jour vers le Service Pack 1. Pour ce faire rendez-vous dans le menu Démarrer et recherchez Windows Update. Si vous utilisez Windows 8, il faut tout simplement mettre à jour Windows vers la version 8.1. Après cela vous pourrez installer Windows 10.
Si vous avez un PC sous Windows XP ou Vista
Si votre version de Windows est XP ou Vista, malheureusement pour vous, il faudra mettre la main au portefeuille. En France, la version Home de Windows 10 vous coûtera 134,99 euros et la version Pro 269,99 euros. Vous pouvez vous procurer Windows 10 soit sur le site de Microsoft (téléchargement) soit en version CD ou pour la première fois sur clé USB (à partir d’août) dans les points de ventes partenaires.
Attention ! Avant de faire cet achat, vérifiez bien que votre PC dispose de la configuration minimale requise pour faire tourner Windows 10. Microsoft a même publié une configuration recommandée pour que Windows 10 tourne sans aucun problème. Car si le nouvel OS de Microsoft exige les mêmes configurations matérielles que Windows 7 ou 8, ces configurations sont supérieures à celles exigées pour faire tourner Windows XP ou Vista.
Si vous avez un appareil sous Windows RT
Mauvaise nouvelle si vous êtes détenteur d’un appareil tournant sur Windows RT, la mise à jour vers Windows 10 est impossible. Néanmoins, Microsoft a promis qu’une mise à jour de Windows RT serait disponible dès Septembre mais n’a donné aucune information précise à ce sujet.
Si votre PC n’est pas à jour
Vous avez Windows 7 ou 8.1 mais vous ne voyez pas l’icône, il se peut que votre PC ne soit pas à jour. Vérifiez donc que vous avez bien la dernière mise à jour en date. Si vous avez Windows 7 vérifiez que vous avez bien fait la mise à jour vers le Service Pack 1. Pour ce faire rendez-vous dans le menu Démarrer et recherchez Windows Update. Si vous utilisez Windows 8, il faut tout simplement mettre à jour Windows vers la version 8.1. Après cela vous pourrez installer Windows 10.
Si vous avez un PC sous Windows XP ou Vista
Si votre version de Windows est XP ou Vista, malheureusement pour vous, il faudra mettre la main au portefeuille. En France, la version Home de Windows 10 vous coûtera 134,99 euros et la version Pro 269,99 euros. Vous pouvez vous procurer Windows 10 soit sur le site de Microsoft (téléchargement) soit en version CD ou pour la première fois sur clé USB (à partir d’août) dans les points de ventes partenaires.
Attention ! Avant de faire cet achat, vérifiez bien que votre PC dispose de la configuration minimale requise pour faire tourner Windows 10. Microsoft a même publié une configuration recommandée pour que Windows 10 tourne sans aucun problème. Car si le nouvel OS de Microsoft exige les mêmes configurations matérielles que Windows 7 ou 8, ces configurations sont supérieures à celles exigées pour faire tourner Windows XP ou Vista.
Si vous avez un appareil sous Windows RT
Mauvaise nouvelle si vous êtes détenteur d’un appareil tournant sur Windows RT, la mise à jour vers Windows 10 est impossible. Néanmoins, Microsoft a promis qu’une mise à jour de Windows RT serait disponible dès Septembre mais n’a donné aucune information précise à ce sujet.
Ce n’est pas la première fois que la rumeur fait la Une de l’actualité, mais cette fois-ci c’est la bonne ! Dès 2016, il se pourrait bien que vous n’ayez plus besoin de carte SIM pour votre smartphone à condition qu’il s’agisse d’un appareil Apple ou Samsung. Les deux géants auraient trouvé un accord pour proposer des appareils équipés de cartes SIM électroniques intégrées.
C’est le très sérieux Financial Times qui nous dévoile l’information selon laquelle Apple et Samsung seraient parvenus à négocier avec GSMA, l’organisation mondiale qui gère tout ce qui touche aux réseaux et opérateurs.
Les deux géants et l’organisation en seraient au stade des « négociations avancées » pour pouvoir proposer des smartphones équipés de cartes SIM électroniques intégrées signant ainsi la fin des cartes SIM telles que nous les connaissons aujourd’hui.
Les cartes SIM électroniques pourraient donc permettre aux utilisateurs de ne pas changer de carte SIM chaque fois qu’ils changent d’opérateur. La carte SIM « intelligente » pourrait s’adapter toute seule. Les opérateurs concernés dans un premier temps seraient AT&T, Deutsche Telekom, Etisalat, Hutchison Whampoa, Orange, Telefónica, et Vodafone.
Interrogé par le Financial Times, GSMA a confirmé que les derniers termes de l’accord étaient en cours de négociation mais que dès 2016, les smartphones de Samsung et Apple devraient être équipés de cette technologie.
Pour Apple, ce ne sera pas la première fois qu’il tente de remplacer la carte SIM des opérateurs. L’année dernière, la firme de Cupertino lançait les cartes SIM Apple aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Il y a un mois, ces mêmes cartes étaient proposées en Australie.
A quoi servent-elles ? Elles permettent à l’utilisateur de switcher d’un opérateur à l’autre sans avoir besoin de changer de carte SIM. Et en prime, la firme de Cupertino a négocié avec GigSky pour proposer du roaming depuis 90 pays dont la France. Alors, que pensez-vous d’une carte SIM électronique intégrée à votre smartphone ?
Les deux géants et l’organisation en seraient au stade des « négociations avancées » pour pouvoir proposer des smartphones équipés de cartes SIM électroniques intégrées signant ainsi la fin des cartes SIM telles que nous les connaissons aujourd’hui.
Les cartes SIM électroniques pourraient donc permettre aux utilisateurs de ne pas changer de carte SIM chaque fois qu’ils changent d’opérateur. La carte SIM « intelligente » pourrait s’adapter toute seule. Les opérateurs concernés dans un premier temps seraient AT&T, Deutsche Telekom, Etisalat, Hutchison Whampoa, Orange, Telefónica, et Vodafone.
Interrogé par le Financial Times, GSMA a confirmé que les derniers termes de l’accord étaient en cours de négociation mais que dès 2016, les smartphones de Samsung et Apple devraient être équipés de cette technologie.
Pour Apple, ce ne sera pas la première fois qu’il tente de remplacer la carte SIM des opérateurs. L’année dernière, la firme de Cupertino lançait les cartes SIM Apple aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Il y a un mois, ces mêmes cartes étaient proposées en Australie.
A quoi servent-elles ? Elles permettent à l’utilisateur de switcher d’un opérateur à l’autre sans avoir besoin de changer de carte SIM. Et en prime, la firme de Cupertino a négocié avec GigSky pour proposer du roaming depuis 90 pays dont la France. Alors, que pensez-vous d’une carte SIM électronique intégrée à votre smartphone ?
Si l’iPhone 6 et l’iPhone 6 Plus rapportent autant à Apple, c’est non seulement parce qu’ils se vendent bien mais également parce que la firme pratique des marges assez élevés. Nous ne reviendrons pas sur le prix de vente de ses appareils car ce n’est pas le sujet mais simplement sur les marges réalisées par la société.
Celles-ci seraient plus conséquentes que jamais puisque d’après les dernières informations du CIRP, l’UBS Evidence Lab iPhone Monitor estime aujourd’hui que grâce aux ventes de l’iPhone 6 Plus, Apple aurait dépassé les 40% de marge brute.
Celles-ci seraient plus conséquentes que jamais puisque d’après les dernières informations du CIRP, l’UBS Evidence Lab iPhone Monitor estime aujourd’hui que grâce aux ventes de l’iPhone 6 Plus, Apple aurait dépassé les 40% de marge brute.
D’après l’analyste d’UBS, Steven Milunovich, Apple serait parvenu à atteindre 40,9% de marge brute, soit 1,5% de plus que le consensus de Wall Street qui est de 39,4% tandis que les prévisions de la pomme se situent entre 38,5 et 39,5%. La société aurait ainsi dépassé ses propres attentes formulées en avril.
Une performance qui serait directement liée aux ventes de l’iPhone 6 Plus, plus que sastisfaisantes puisque celles-ci représenteraient pas moins de 30% du total des ventes d’iPhone. On notera, au passage, qu’au second trimestre 2015, 18% des acheteurs d’iPhone étaient des switchers provenant d’Android. Des chiffres qui prouvent que la stratégie déployée par Apple pour séduire les utilisateurs Android fonctionne toujours.
Si le dernier rapport du cabinet d’analystes annonce déjà des marges énormes, celles-ci pourraient passablement augmenter avec l’arrivée prochaine de l’iPhone 6S pour grimper à 41,6%, non seulement grâce au prochain téléphone de la pomme mais également grâce à l’Apple Watch.
Les résultats financiers d’Apple pour le second trimestre 2015 seront officiellement annoncés le 21 juillet prochain soit dans quatre jours. Nous verrons à ce moment là si les chiffres énoncés par les analystes se confirment ou pas, mais dans tous les cas, les iPhone 6 et 6 Plus sont encore dans le top des ventes dix mois après leur sortie au grand désarroi de Samsung.
Une performance qui serait directement liée aux ventes de l’iPhone 6 Plus, plus que sastisfaisantes puisque celles-ci représenteraient pas moins de 30% du total des ventes d’iPhone. On notera, au passage, qu’au second trimestre 2015, 18% des acheteurs d’iPhone étaient des switchers provenant d’Android. Des chiffres qui prouvent que la stratégie déployée par Apple pour séduire les utilisateurs Android fonctionne toujours.
Si le dernier rapport du cabinet d’analystes annonce déjà des marges énormes, celles-ci pourraient passablement augmenter avec l’arrivée prochaine de l’iPhone 6S pour grimper à 41,6%, non seulement grâce au prochain téléphone de la pomme mais également grâce à l’Apple Watch.
Les résultats financiers d’Apple pour le second trimestre 2015 seront officiellement annoncés le 21 juillet prochain soit dans quatre jours. Nous verrons à ce moment là si les chiffres énoncés par les analystes se confirment ou pas, mais dans tous les cas, les iPhone 6 et 6 Plus sont encore dans le top des ventes dix mois après leur sortie au grand désarroi de Samsung.
Si l’on se fie aux dernières informations récoltées par Sammobile, le Galaxy S6 Edge+ sera dévoilé le 12 août prochain aux côtés du Galaxy Note 5 avec une date de sortie prévue pour le 21 Août. Samsung aurait finalement décidé de bouleverser son calendrier habituel en annonçant sa nouvelle gamme un peu plus tôt que prévu au lieu d’attendre l’IFA pour mieux contrer les deux prochains iPhone. Et aujourd’hui, voilà que l’appareil se dévoile intégralement en images, enfin presque.
Un modèle factice du Galaxy S6 Edge+, semblable à ceux qu’on peut trouver dans les vitrines des opérateurs et autres points de vente vient de faire surface sur le site allemand All About Samsung. Il ne s’agit donc pas clairement de l’appareil mais d’un modèle censé reproduire son design à l’identique. Placé aux côtés d’un Galaxy Note 4, il affiche des dimensions similaires, confirmant ainsi la taille de son écran qui sera effectivement de 5,7 pouces.
En dehors ce son format imposant, ce Galaxy S6+ sera, en tous points, similaire, au modèle de 5,1 pouces en vente depuis avril. Comme le rapportait Sammobile, il y a quelques jours, le processeur Snapdragon 808 utilisé sur les versions test de l’appareil aurait été remplacé par un Soc Exynos 7420. On retrouvera également 3 Go de RAM LPDDR4, un capteur photo de 16 Mégapixels avec stabilisation optique OIS, une caméra frontale de 5 Mégapixels et une batterie de 3000 mAh.
Plutôt que de surfer sur un marché de niche comme il l’a fait l’an dernier avec le Galaxy Note Edge, Samsung a préféré, cette année, concevoir une phablette appartenant non plus à la gamme Note mais à la gamme S (on perd ainsi le stylet) et reprenant le form factor de son dernier smartphone incurvé dans un plus grand gabarit. Une stratégie qui pourrait s’avérer payante au vu de l’intérêt suscité par la version 5,1 pouces.
En dehors ce son format imposant, ce Galaxy S6+ sera, en tous points, similaire, au modèle de 5,1 pouces en vente depuis avril. Comme le rapportait Sammobile, il y a quelques jours, le processeur Snapdragon 808 utilisé sur les versions test de l’appareil aurait été remplacé par un Soc Exynos 7420. On retrouvera également 3 Go de RAM LPDDR4, un capteur photo de 16 Mégapixels avec stabilisation optique OIS, une caméra frontale de 5 Mégapixels et une batterie de 3000 mAh.
Plutôt que de surfer sur un marché de niche comme il l’a fait l’an dernier avec le Galaxy Note Edge, Samsung a préféré, cette année, concevoir une phablette appartenant non plus à la gamme Note mais à la gamme S (on perd ainsi le stylet) et reprenant le form factor de son dernier smartphone incurvé dans un plus grand gabarit. Une stratégie qui pourrait s’avérer payante au vu de l’intérêt suscité par la version 5,1 pouces.
Pour la première fois depuis trois ans, l’iPod touch voit ses spécifications évoluer…
Les rumeurs de ces derniers jours se sont confirmées ce mercredi avec l’arrivée des nouveaux iPod touch, nano et shuffle dans le catalogue de la firme de Cupertino. Et c’est l’iPod touch qui reçoit le plus de nouveautés. Il faut bien avouer que ce modèle n’avait pas vraiment évolué depuis son arrivée il y a trois ans. Au menu, le nouvel iPod touch intègre désormais un processeur A8 64 Bits (contre l’A5 en 32 bits) qui le rend compatible avec la technologie Metal et les jeux les plus exigeants. Ce dernier est accompagné de la puce M8 – que l’on retrouve déjà sur les iPhone et iPad les plus récents – dont le rôle est collecter les informations des divers capteurs de l’appareil, dédiés notamment aux apps fitness. L’appareil intègre également un capteur photo de 8 mégapixels (contre 5 mégapixels) doté d’un stabilisateur vidéo, ainsi que d’une camera frontale HD qui, selon Apple, est améliorée pour les selfies.
Cerise sur le gâteau, le nouvel iPod touch est désormais compatible avec la norme Wi-Fi 802.11 ac permettant d’atteindre des vitesses de surf jusqu’à deux fois plus rapides. Le nouvel iPod touch est en outre proposé dans de nouveaux coloris (un bleu plus foncé, doré et rose fushia), en plus des coloris gris sidéral et argent. Il est proposé dans quatre capacité de stockage (16, 32, 64 et 128 Go) au prix de 229€, 279€, 339€ et 449€. Autrement dit, les prix sont identiques aux modèles précédents. À noter que la version 128 Go n’est proposée que par Apple et par son réseau de revendeurs agréés.
Bien entendu, Apple Music est accessible au nouveau baladeur multimédia d’Apple.
En ce qui concerne les iPod nano et shuffle, ces derniers sont proposés également dans les mêmes coloris que l’iPod touch. Leurs prix et leurs capacités, eux, restent inchangés.
Cerise sur le gâteau, le nouvel iPod touch est désormais compatible avec la norme Wi-Fi 802.11 ac permettant d’atteindre des vitesses de surf jusqu’à deux fois plus rapides. Le nouvel iPod touch est en outre proposé dans de nouveaux coloris (un bleu plus foncé, doré et rose fushia), en plus des coloris gris sidéral et argent. Il est proposé dans quatre capacité de stockage (16, 32, 64 et 128 Go) au prix de 229€, 279€, 339€ et 449€. Autrement dit, les prix sont identiques aux modèles précédents. À noter que la version 128 Go n’est proposée que par Apple et par son réseau de revendeurs agréés.
Bien entendu, Apple Music est accessible au nouveau baladeur multimédia d’Apple.
En ce qui concerne les iPod nano et shuffle, ces derniers sont proposés également dans les mêmes coloris que l’iPod touch. Leurs prix et leurs capacités, eux, restent inchangés.
Vous avez bien lu, Samsung est d’ailleurs particulièrement sérieux quant à ce projet. C’est une information qui va pouvoir surprendre, impressionner ou interroger, toujours est-il que le projet d’un écran de smartphone à définition 11K est lancé depuis le mois dernier, en partenariat avec le gouvernement sud-coréen.
Disposant d’un budget de 26,5 millions de dollars, Samsung va faire équipe avec 13 entreprises locales et non-locales afin de mettre au point le premier écran d’appareil mobile à définition 11K affichant 2250 ppp (pixels par pouce). Affirmé par l’Executive Director de la société, Chu Hye Yong, cette avancée permettrait de créer un écran à la définition quatre fois supérieure à celle proposée aujourd’hui par les Quad HD comme le Huawei Mate 8.
En réalité, cela fait partie d’un plan plus global incluant notamment le déploiement du réseau Giga LTE développé par le fournisseur de réseau KT en prévision de l’arrivée de la 5G. Menées par le Ministère des Sciences, l’ICT et Future Planning, ces prouesses technologiques ont toutes pour ligne de mire des présentations publiques lors des Jeux Olympiques 2018 qui auront lieu à Pyeongchang.
En réalité, cela fait partie d’un plan plus global incluant notamment le déploiement du réseau Giga LTE développé par le fournisseur de réseau KT en prévision de l’arrivée de la 5G. Menées par le Ministère des Sciences, l’ICT et Future Planning, ces prouesses technologiques ont toutes pour ligne de mire des présentations publiques lors des Jeux Olympiques 2018 qui auront lieu à Pyeongchang.
Ce projet d’écran mobile 11K est intitulé EnDK. Il est actuellement conçu dans une manœuvre d’alternative face à la démocratisation progressive de la 3D. Selon eux, disposer d’un écran d’une telle définition permettrait un affichage minutieux des couleurs, mettant en évidence des détails et provoquant à l’instar d’une illusion d’optique, des impressions de 3D.
Actuellement, les écrans 2K offrant 550 ppp pour une définition de 2550 x 1440 pixels sont considérés comme les plus avancés du marché. Bien évidemment, des terminaux proposent de plus hautes définition tels que le prototype 8K pour écran de télévision ou encore la 4K qui élève d’ailleurs quelques question quant à l’utilité d’un tel affichage sur un écran de smartphone, sans parler de l’autonomie de la batterie durement affectée…Toujours est-il que d’ici 2019 des écrans de 11K à 2250 ppp pourraient voir le jour et atteindre une commercialisation mondiale.
Actuellement, les écrans 2K offrant 550 ppp pour une définition de 2550 x 1440 pixels sont considérés comme les plus avancés du marché. Bien évidemment, des terminaux proposent de plus hautes définition tels que le prototype 8K pour écran de télévision ou encore la 4K qui élève d’ailleurs quelques question quant à l’utilité d’un tel affichage sur un écran de smartphone, sans parler de l’autonomie de la batterie durement affectée…Toujours est-il que d’ici 2019 des écrans de 11K à 2250 ppp pourraient voir le jour et atteindre une commercialisation mondiale.
Pour faire écho à la récente déclaration d’Apple selon laquelle 99% des utilisateurs iPhone 6 l’adorent et seraient satisfaits de leur achat, voici une nouvelle étude de l’institut américain Gallum relayées par Forbes qui démontre que les utilisateurs iOS changent plus souvent de smartphone que les utilisateurs Android.
A quelle fréquence les utilisateurs renouvellent leur smartphone ? Voici ce que cherche à définir cette nouvelle étude menée sur un échantillon de 8234 utilisateurs Apple et 6072 utilisateurs d’un smartphone sous l’OS de Google. Un sondage qui en dit long sur les habitudes de consommation qui ne sont pas tout à fait les mêmes d’un OS à l’autre.
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La première tendance qui ressort, c’est que très peu d’utilisateurs sont prêts à lâcher leur smartphone au bout d’un an pour acquérir le nouveau modèle puisqu’ils représentent seulement 2% de l’échantillon, d’un côté comme de l’autre. Il faut dire qu’un smartphone haut de gamme est souvent cher au moment de son lancement. Raison pour laquelle, il est souvent plus avantageux d’acheter un flagship de l’année précédente.
En revanche, 51% des utilisateurs iPhone et 40% des utilisateurs Android renouvellent leur smartphone au bout d’une période de deux ans. Délai qui correspond à la durée d’engagement lorsqu’on achète un smartphone subventionné chez un opérateur mais également à partir duquel il devient possible d’acquérir un nouvel appareil au meilleur prix en restant chez le même opérateur. C’est d’ailleurs le cas de plus de la moitié des utilisateurs iOS qui n’achètent qu’un nouvel iPhone sur deux.
De leur côté, les utilisateurs de l’OS de Google se montrent plus conservateurs puisque 58% d’entre eux conservent leur smartphone jusqu’à ce qu’il devienne obsolète, soit parce qu’il n’est plus mis à jour ou qu’il affiche un trop gros décalage avec les smartphones dernier cri, soit parce qu’il ne fonctionne plus, contre 47% des utilisateurs iOS. Il faut dire qu’Apple sait y faire lorsqu’il est question de pousser son dernier iPhone dans les bras de ses clients.
Il semblerait que le Galaxy Note 5 sorte un peu plus tôt que prévu, c’est à dire aux alentours de la mi-août. Samsung chercherait ainsi à devancer les futures sorties préparées par Apple courant septembre, comme il l’avait fait avec son Galaxy Note 4.
Maintenant que les Galaxy S6 et S6 Edge sont sortis, les fans de Samsung et particulièrement de la gamme Note regardent devant eux. Le prochain smartphone géant de la marque coréenne devrait être présenté en septembre prochain lors de l’IFA 2015 de Berlin. Certaines rumeurs et tendances circulent déjà, nous allons voir tout cela ensemble, mais aussi partager nos attentes et espoirs sur le Samsung Galaxy Note 5 !
Avec le soutien de son partenaire DeNA spécialiste du Free-to-Play, Nintendo prépare son incursion sur les terminaux mobiles pour l’année prochaine. Son Président, Satoru Iwata est d’ailleurs revenu sur les stratégies de vente que l’entreprise nippone comptait employer pour ce marché en pleine expansion.
Pour commencer, il va falloir se préparer à découvrir un nouveau système d’acquisition des jeux car si Iwata san ne compte pas produire de jeux premiums, il n’aime pas non plus l’appellation « Free-to-Play ». Pour lui, le jeu n’est pas gratuit, c’est pour ça que désormais, nous parlerons de « Free-to-Start » plus convenable et juste selon lui.
Le CEO de Nintendo déclare ainsi vouloir proposer des jeux gratuits durant un temps, devenant payant par la suite. Selon lui, le prix des jeux mobile du fait de leurs bas prix, dévaluent les jeux vidéos sur les moyens et longs termes.
Aussi, contrairement aux jeux consoles, le succès du jeu mobile ne dépend pas vraiment de sa date de sortie. En effet,s’il occasionne de bons retours, il ne pourra qu’accroître sa communauté d’utilisateurs. Afin d’accroître cette communauté, il explique :
Le CEO de Nintendo déclare ainsi vouloir proposer des jeux gratuits durant un temps, devenant payant par la suite. Selon lui, le prix des jeux mobile du fait de leurs bas prix, dévaluent les jeux vidéos sur les moyens et longs termes.
Aussi, contrairement aux jeux consoles, le succès du jeu mobile ne dépend pas vraiment de sa date de sortie. En effet,s’il occasionne de bons retours, il ne pourra qu’accroître sa communauté d’utilisateurs. Afin d’accroître cette communauté, il explique :
Une fois que la valeur d’un jeu baisse, elle ne remonte plus.
Voilà aussi pourquoi Nintendo n’envisage pas de sortie prochaine contrairement à ce que nous pensions de ces toutes nouvelles créations. La société va prendre son temps pour élaborer un calendrier de sorties planifiant des ajouts de contenus permettant d’intéresser de nouveaux joueurs, renouveler l’intérêt des premiers…pour que la valeur du jeu tende vers le haut plutôt que le bas.
Les jeux de Nintendo viseront un public le plus large possible et ne se cantonnera pas à une base de joueur particulière. En touchant le plus grand nombre, les personnes emballées par le jeu se verront proposer de petites sommes à débourser, contrairement aux « Free-to-Play » où généralement les achats mènent à de lourdes dépenses.
En résumé, les jeux de Nintendo à venir allieront qualité et accessibilité afin de remplir le modèle de viabilité attendu par la société. Plus la communauté de joueur sera grande, moins les sommes à débourser seront élevées.
Voilà aussi pourquoi Nintendo n’envisage pas de sortie prochaine contrairement à ce que nous pensions de ces toutes nouvelles créations. La société va prendre son temps pour élaborer un calendrier de sorties planifiant des ajouts de contenus permettant d’intéresser de nouveaux joueurs, renouveler l’intérêt des premiers…pour que la valeur du jeu tende vers le haut plutôt que le bas.
Les jeux de Nintendo viseront un public le plus large possible et ne se cantonnera pas à une base de joueur particulière. En touchant le plus grand nombre, les personnes emballées par le jeu se verront proposer de petites sommes à débourser, contrairement aux « Free-to-Play » où généralement les achats mènent à de lourdes dépenses.
En résumé, les jeux de Nintendo à venir allieront qualité et accessibilité afin de remplir le modèle de viabilité attendu par la société. Plus la communauté de joueur sera grande, moins les sommes à débourser seront élevées.
Universal Pictures a mis en ligne une nouvelle bande-annonce officielle du très attendu “Steve Jobs” de Danny Boyle.
Porté par Michael Fassbender (“Inglourious Basterds”, “12 Years a Slave”, “X-Men”…), qui campe le fondateur d’Apple, le film essaye de percer le mystère du génie à travers le lancement de trois produits emblématiques de la marque à la pomme.
Le biopic réalisé par Danny Boyle (“Trainspotting”, “La plage”, “Petits meurtres entre amis”, “127 heures”…), sortira en salles le 6 janvier 2016.
Bande-annonce :
Porté par Michael Fassbender (“Inglourious Basterds”, “12 Years a Slave”, “X-Men”…), qui campe le fondateur d’Apple, le film essaye de percer le mystère du génie à travers le lancement de trois produits emblématiques de la marque à la pomme.
Le biopic réalisé par Danny Boyle (“Trainspotting”, “La plage”, “Petits meurtres entre amis”, “127 heures”…), sortira en salles le 6 janvier 2016.
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Dans un tout petit peu plus d’un mois maintenant, Microsoft lancera officiellement Windows 10. Le 29 Juillet ceux qui possèdent une version officielle de Windows 7 ou Windows 8.1 pourront passer gratuitement à la nouvelle version de l’OS.
Et avec cette nouvelle mouture de Windows, Microsoft signe le grand retour du Menu Démarrer et du Bureau tel que nous le connaissions depuis des années, avant l’interface Metro de Windows 8. Comme pour chaque nouvelle version de Windows, Microsoft va proposer un fond d’écran par défaut. Ce fond d’écran a été officiellement dévoilé par la firme de Redmond et vous allez voir, elle n’a rien à voir avec ce que l’on a l’habitude de voir chez Microsoft.
Et avec cette nouvelle mouture de Windows, Microsoft signe le grand retour du Menu Démarrer et du Bureau tel que nous le connaissions depuis des années, avant l’interface Metro de Windows 8. Comme pour chaque nouvelle version de Windows, Microsoft va proposer un fond d’écran par défaut. Ce fond d’écran a été officiellement dévoilé par la firme de Redmond et vous allez voir, elle n’a rien à voir avec ce que l’on a l’habitude de voir chez Microsoft.
Microsoft compte bien faire de Windows 10 un incontournable et l’entreprise n’hésite pas à mettre les moyens jusque dans le moindre détail. Ainsi, pour créer le fond d’écran par défaut de son nouvel OS, la firme de Redmond a fait appel à Bradley G. Munkowitz, qui n’est rien de moins qu’un directeur artistique célèbre pour ses publicités et court métrages futuristes.
Dans une vidéo publiée sur Youtube, Microsoft présente les coulisses de la création de ce fameux fond d’écran. Bradley G. Munkowitz a utilisé de nombreux outils pour réussir à créer un fond d’écran qui se démarque largement des précédentes versions de Windows.
Dans une vidéo publiée sur Youtube, Microsoft présente les coulisses de la création de ce fameux fond d’écran. Bradley G. Munkowitz a utilisé de nombreux outils pour réussir à créer un fond d’écran qui se démarque largement des précédentes versions de Windows.
Il a utilisé des lasers, de la fumée et des LED en studio pour prendre une photo qui se caractérise par des jeux de lumières très intéressants. Le fond d’écran est sombre et le logo de Windows est prédominant. Le tout semble assez universel et du plus bel effet. Nous on aime. Et vous, que pensez-vous du fond d’écran officiel de Windows 10 ?
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Très populaire aux Etats-Unis, la campagne publicitaire “Photographié avec l’iPhone 6″ vient de décrocher l’Outdoor Lions Grand Prix au Festival International de la Créativité de Cannes.
Apple peut être fier de sa campagne marketing “Photographié avec l’iPhone 6″, qui bat son plein depuis plusieurs mois déjà dans les pays anglo-saxons. Créée par l’agence TBWA, la campagne met en avant des photos réalisées par les propriétaires de l’iPhone 6 sans jamais montrer le produit à proprement parler, une manière raffinée de mettre en avant ses excellentes performances en termes de photographie.
La campagne a d’ailleurs tellement bien fonctionné qu’elle vient de décrocher l’Outdoor Lions Grand Prix au Festival International de la Créativité de Cannes. Visiblement très impressionné par l’efficacité de cette campagne publicitaire, le jury lui a en effet attribué le prix principal, offrant ainsi à Apple un nouveau trophée. Et ce sont pas moins de cinq lions d’or que la firme de Cupertino a reçu en guise de félicitations.
Inutile de dire que la barre est placée très haut pour la prochaine campagne du géant américain!
La campagne a d’ailleurs tellement bien fonctionné qu’elle vient de décrocher l’Outdoor Lions Grand Prix au Festival International de la Créativité de Cannes. Visiblement très impressionné par l’efficacité de cette campagne publicitaire, le jury lui a en effet attribué le prix principal, offrant ainsi à Apple un nouveau trophée. Et ce sont pas moins de cinq lions d’or que la firme de Cupertino a reçu en guise de félicitations.
Inutile de dire que la barre est placée très haut pour la prochaine campagne du géant américain!
Il y a quelques jours, SFR-Numéricable a voulu s’offrir Bouygues Telecom pour 10 milliards d’euros, et tout semblait en place pour que l’offre soit acceptée. Malheureusement, ou heureusement selon le point de vue, le groupe Bouygues a finalement refusé le rachat, à la surprise générale.
Depuis ce refus catégorique, une source proche du conseil d’administration de Bouygues avait dévoilé les raisons qui avaient poussé ce dernier à refuser l’offre mirobolante. SFR-Numéricable ne souhaite pas pour autant rester dans son coin à écouter, et s’est finalement décidé à réagir et apporter des précisions sur son offre.
Ainsi, Atlice, maison mère de SFR-Numéricable, a déclaré avoir pris acte de la décision du conseil d’administration de Bouygues, tout en regrettant que celui-ci « n’ait cherché à obtenir la moindre précision ou explication sur son offre avant la présentation ». C’est donc tout naturellement que Atlice est revenu sur certains points, afin d’arrondir les angles, et donner son point de vue sur cette affaire.
Ainsi, Atlice, maison mère de SFR-Numéricable, a déclaré avoir pris acte de la décision du conseil d’administration de Bouygues, tout en regrettant que celui-ci « n’ait cherché à obtenir la moindre précision ou explication sur son offre avant la présentation ». C’est donc tout naturellement que Atlice est revenu sur certains points, afin d’arrondir les angles, et donner son point de vue sur cette affaire.
C’est tout d’abord la valorisation de Bouygues Telecom qui est évoquée, puisque selon Atlice, l’offre de 10 milliards d’euros corresponds à environ 15 fois l’estimation Ebitda, Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization, réalisée par Bouygues en 2015. Il s’agirait même de 25 fois l’Ebitda réel, de quoi se rendre compte à quel point cette offre est démesurée.
Atlice a aussi expliqué que le financement de l’opération ne comprenait aucun risque, puisque déjà assuré et sécurisé via diverses sources de revenus, et annonce donc indirectement que l’argument de Bouygues sur les risques financiers n’est pas valable.
Le financement de l’opération est intégralement assuré et sécurisé, sans condition, aux termes des lettres d’engagement jointes à la remise de l’offre de BNP, JP Morgan et Morgan Stanley ; il correspond, pour environ 3,5 à 4 milliards d’euros à de l’emprunt bancaire, et pour environ 6 à 6,5 milliards d’euros à des fonds propres composés notamment pour 3,5 à 4 milliards d’euros de cessions d’actifs et d’augmentation de capital (réservée au groupe Bouygues si l’option de paiement partiel en actions était retenue) et d’environ 2,5 milliards d’euros de trésorerie disponible de Numericable-SFR au moment de la réalisation de l’opération. L’opération est ainsi financée à hauteur de 60%-65% en fonds propres et à hauteur de 35%-40% en dette, et non pas à hauteur de 10 milliards de dettes comme indiquées dans des fuites à la presse.
Le groupe SFR-Numéricable est aussi revenu sur les risques d’un tel rachat, et a précisé que celui-ci était encadré, et que des négociations exclusives avec Iliad, maison mère de Free, avaient été engagées pour réaliser des transferts d’actifs. Cela aurait dû se faire dès l’acquisition de Bouygues Telecom, et aurait permis à Atlice de réussir, comme cela a pu se faire pour les opérations réalisées en France par le groupe, mais étant donné l’échec de l’opération, cela ne devrait pas se produire.
Ces accords sont plus larges que ceux dont Bouygues s’est prévalue en mars 2014 dans le cadre de sa tentative de rachat échouée de SFR. Altice et Numericable-SFR ont par ailleurs initié des contacts avec les autorités concernées en vue de traiter et régler toutes les problématiques en cause, comme ils l’ont fait pour toutes les opérations qu’ils ont menées à bien en France.
Enfin, Atlice conclut avec la question de l’emploi, en précisant que la politique aurait été « identique à celles souscrites pour l’acquisition de SFR », qui, pour rappel, est considérée comme un enfer vue de l’intérieur. Voilà donc pour l’avis de SFR-Numéricable sur ce refus catégorique du groupe Bouygues, et qui devrait mettre un terme à l’histoire de rachat de ce dernier, à moins qu’une nouvelle intervention arrive dans les prochains jours, pour de nouveau arrondir les angles.
Le financement de l’opération est intégralement assuré et sécurisé, sans condition, aux termes des lettres d’engagement jointes à la remise de l’offre de BNP, JP Morgan et Morgan Stanley ; il correspond, pour environ 3,5 à 4 milliards d’euros à de l’emprunt bancaire, et pour environ 6 à 6,5 milliards d’euros à des fonds propres composés notamment pour 3,5 à 4 milliards d’euros de cessions d’actifs et d’augmentation de capital (réservée au groupe Bouygues si l’option de paiement partiel en actions était retenue) et d’environ 2,5 milliards d’euros de trésorerie disponible de Numericable-SFR au moment de la réalisation de l’opération. L’opération est ainsi financée à hauteur de 60%-65% en fonds propres et à hauteur de 35%-40% en dette, et non pas à hauteur de 10 milliards de dettes comme indiquées dans des fuites à la presse.
Le groupe SFR-Numéricable est aussi revenu sur les risques d’un tel rachat, et a précisé que celui-ci était encadré, et que des négociations exclusives avec Iliad, maison mère de Free, avaient été engagées pour réaliser des transferts d’actifs. Cela aurait dû se faire dès l’acquisition de Bouygues Telecom, et aurait permis à Atlice de réussir, comme cela a pu se faire pour les opérations réalisées en France par le groupe, mais étant donné l’échec de l’opération, cela ne devrait pas se produire.
Ces accords sont plus larges que ceux dont Bouygues s’est prévalue en mars 2014 dans le cadre de sa tentative de rachat échouée de SFR. Altice et Numericable-SFR ont par ailleurs initié des contacts avec les autorités concernées en vue de traiter et régler toutes les problématiques en cause, comme ils l’ont fait pour toutes les opérations qu’ils ont menées à bien en France.
Enfin, Atlice conclut avec la question de l’emploi, en précisant que la politique aurait été « identique à celles souscrites pour l’acquisition de SFR », qui, pour rappel, est considérée comme un enfer vue de l’intérieur. Voilà donc pour l’avis de SFR-Numéricable sur ce refus catégorique du groupe Bouygues, et qui devrait mettre un terme à l’histoire de rachat de ce dernier, à moins qu’une nouvelle intervention arrive dans les prochains jours, pour de nouveau arrondir les angles.
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- Revêtement intérieur doux au toucher
Google Play Music s’enrichit (aux États-Unis) d’une nouvelle offre de radio en streaming gratuite.
Google Play Music inaugure une nouvelle offre de streaming musical,
sous la forme d’une radio gratuite avec de la publicité. Elle est censée
jouer une musique adaptée à n’importe quel moment de la journée ou
humeur particulière à travers des playlists dédiées.
Ces musiques ont été sélectionnés par des experts et doivent pouvoir
répondre aux besoins de chacun. Avec ce nouveau service, Google propose
donc une alternative aux offres gratuites de Spotify ou Deezer. Apple
Music, qui doit être déployé le 30 juin 2015, ne comprendra de son côté
aucun service gratuit (au-delà des 3 mois offerts).
Pour le moment, ce service n’est accessible qu’aux États-Unis.
L’offre de streaming illimité Google Play Music demeure disponible à
9,99 dollars
La première tablette au format réduit d’Apple tire sa révérence…
Apple a retiré discrètement ce week-end l’iPad mini de première génération de ses Apple Stores, ainsi que de sa boutique en ligne.
L’iPad mini original avait été introduit en octobre 2012 et amenait avec lui un design que l’on retrouve sur l’iPad mini 2 et l’iPad mini 3, ainsi que sur les iPad Air et iPad Air 2.
Avec l’arrivée des récents modèles, l’iPad mini premier du nom était proposé uniquement avec une capacité de 16 Go pour 249 euros. Son prix avait diminué année après année. Il était également proposé avec un écran non-Retina au contraire de ses successeurs.
Apple commercialise donc dès à présent des iPad mini tous dotés d’un écran Retina et équipés de processeur A7 ou A8X (64 bit).
L’iPad mini original avait été introduit en octobre 2012 et amenait avec lui un design que l’on retrouve sur l’iPad mini 2 et l’iPad mini 3, ainsi que sur les iPad Air et iPad Air 2.
Avec l’arrivée des récents modèles, l’iPad mini premier du nom était proposé uniquement avec une capacité de 16 Go pour 249 euros. Son prix avait diminué année après année. Il était également proposé avec un écran non-Retina au contraire de ses successeurs.
Apple commercialise donc dès à présent des iPad mini tous dotés d’un écran Retina et équipés de processeur A7 ou A8X (64 bit).
On parle beaucoup de l’arrivée à la rentrée prochaine du Galaxy Note 5, mais son grand rival, l’iPhone 7 (ou iPhone 6S) attirera l’attention de tous, comme chaque année. A quelques mois de sa présentation officielle, les rumeurs vont bon train.
Et il y en a une qui a attiré notre attention puisque ce serait un vrai revirement de la part d’Apple dans sa « philosophie » : la suppression du bouton « Home ». Ce fameux bouton que Google a choisi de ne pas intégrer à ses appareils, préférant apposer trois boutons tactiles.
Et il y en a une qui a attiré notre attention puisque ce serait un vrai revirement de la part d’Apple dans sa « philosophie » : la suppression du bouton « Home ». Ce fameux bouton que Google a choisi de ne pas intégrer à ses appareils, préférant apposer trois boutons tactiles.
C’est le site Digitimes qui affirme avoir obtenu des informations sur le prochain iPhone d’Apple. Selon ses sources, la firme de Cupertino serait prête à abandonner une technologie qu’elle défendait depuis des années : le bouton « Home ».
Ce fameux bouton physique a longtemps été un point de différence important entre Google et Apple. La firme de Mountain View a toujours préféré utiliser trois boutons physiques pour effectuer les actions les plus récurrentes à savoir le retour en arrière, l’accès au multi-tâche et le retour en page d’accueil.
Apple aurait finalement décidé d’en faire autant pour accorder plus de place à l’écran sur son prochain smartphone star. Exit le bouton « Home » et place à une nouvelle technologie basée sur le Force Touch qui permettrait donc de supprimer le bouton « Home » tout en conservant le lecteur d’empreintes biométrique cher à la marque.
Ainsi, la technologie serait directement intégrée à l’écran. Le capteur biométrique serait placé sous l’écran et ainsi l’iPhone 7 pourrait disposer d’un plus grand écran sans pour autant voir ses dimensions augmenter.
Ce fameux bouton physique a longtemps été un point de différence important entre Google et Apple. La firme de Mountain View a toujours préféré utiliser trois boutons physiques pour effectuer les actions les plus récurrentes à savoir le retour en arrière, l’accès au multi-tâche et le retour en page d’accueil.
Apple aurait finalement décidé d’en faire autant pour accorder plus de place à l’écran sur son prochain smartphone star. Exit le bouton « Home » et place à une nouvelle technologie basée sur le Force Touch qui permettrait donc de supprimer le bouton « Home » tout en conservant le lecteur d’empreintes biométrique cher à la marque.
Ainsi, la technologie serait directement intégrée à l’écran. Le capteur biométrique serait placé sous l’écran et ainsi l’iPhone 7 pourrait disposer d’un plus grand écran sans pour autant voir ses dimensions augmenter.
Un parti pris n’est pas dans la philosophie de la marque mais qui est tout à fait envisageable. Apple, qui promettait que ses iPhone auraient toujours un format qui permettrait de l’utiliser à une seule main, est revenu sur sa position en fin d’année dernière.
Avec l’iPhone 6, la firme de Cupertino a laissé de côté ses principes et a suivi le mouvement engagé par les autres constructeurs en proposant un appareil plus grand. Il ne serait donc pas étonnant qu’Apple finisse par rejoindre Google et fasse disparaître son bouton « Home ».
Avec l’iPhone 6, la firme de Cupertino a laissé de côté ses principes et a suivi le mouvement engagé par les autres constructeurs en proposant un appareil plus grand. Il ne serait donc pas étonnant qu’Apple finisse par rejoindre Google et fasse disparaître son bouton « Home ».
Initialement pressenti pour être annoncé à l’occasion de l’IFA 2015 en septembre, le Galaxy Note 5 ne cesse d’alimenter l’actualité avec de nouvelles rumeurs, et cela ne semble pas près de s’arrêter, puisque voici qu’une nouvelle source aurait donné quelques informations supplémentaires sur la future phablette.
Aux dernières nouvelles, le Samsung Galaxy Note 5 pourrait être dévoilé dès le mois d’août, cela afin d’éviter « la menace que représente l’iPhone 6S ». Cette nouvelle date semble se confirmer, toujours dans l’optique d’éviter Apple et son futur smartphone.
Mais la véritable nouvelle information est la possible absence de nouvelle version du Galaxy Note Edge. Cela pourrait en décevoir quelques-uns, qui auraient pu craquer pour cette variante du Galaxy Note 5, qui aurait donc pu être une version Note du Galaxy S6 Edge.
La nouvelle source évoque aussi la présence d’un écran QHD (2560 x 1440 pixels) de 5,89 pouces, ce qui confirmerait que Samsung a bel et bien abandonné l’idée d’un écran 4K pour sa future phablette. Histoire d’assurer une autonomie correcte avec un tel écran, le constructeur aurait décidé d’inclure une batterie de 4 100 mAh, ce qui ne serait pas de trop.
Mais la véritable nouvelle information est la possible absence de nouvelle version du Galaxy Note Edge. Cela pourrait en décevoir quelques-uns, qui auraient pu craquer pour cette variante du Galaxy Note 5, qui aurait donc pu être une version Note du Galaxy S6 Edge.
La nouvelle source évoque aussi la présence d’un écran QHD (2560 x 1440 pixels) de 5,89 pouces, ce qui confirmerait que Samsung a bel et bien abandonné l’idée d’un écran 4K pour sa future phablette. Histoire d’assurer une autonomie correcte avec un tel écran, le constructeur aurait décidé d’inclure une batterie de 4 100 mAh, ce qui ne serait pas de trop.
Le Galaxy Note 5 ne ferait que 7,9 mm d’épaisseur, et serait équipé d’un processeur Samsung Exynos 7422, et le S-Pen serait bien présent, sans surprise. Toutefois la source ne confirme ou n’infirme pas la présence d’un système d’autoéjection déjà évoqué par le passé.
En prime, le Galaxy Note 5 serait disponible dans une variante double SIM dans certaines régions du monde, incluant l’Europe. Samsung testerait actuellement sa phablette en interne, et elle tournerait sous Android Lollipop 5.1.1 avec la dernière version de TouchWiz, même si la version du système d’exploitation à encore le temps de changer d’ici sa sortie.
Enfin, pour conclure sur les nouvelles informations qui auraient fuité, le Galaxy Note 5 serait compatible 4G LTE, ce qui semble évident pour un haut de gamme. Le Galaxy Note 5 étant attendu pour le mois de septembre 2015, l’attente ne devrait pas être trop longue avant de savoir si tout ceci est avéré, ou non.
En prime, le Galaxy Note 5 serait disponible dans une variante double SIM dans certaines régions du monde, incluant l’Europe. Samsung testerait actuellement sa phablette en interne, et elle tournerait sous Android Lollipop 5.1.1 avec la dernière version de TouchWiz, même si la version du système d’exploitation à encore le temps de changer d’ici sa sortie.
Enfin, pour conclure sur les nouvelles informations qui auraient fuité, le Galaxy Note 5 serait compatible 4G LTE, ce qui semble évident pour un haut de gamme. Le Galaxy Note 5 étant attendu pour le mois de septembre 2015, l’attente ne devrait pas être trop longue avant de savoir si tout ceci est avéré, ou non.
Le système de reconnaissance faciale de Facebook reste assez impressionnant, il suffit de voir lorsqu’on uploade une photo. Enfin, ça c’était avant que la Commission Européenne ne fasse retirer cette fonction dans nos contrées.
Toujours est-il qu’aux USA, l’outil existe toujours et va encore s’améliorer dans l’avenir. Le laboratoire d’intelligence artificielle du réseau social a mis en place un algorithme qui va permettre de vous identifier sur les photos, même lorsque votre visage n’apparaît pas en analysant des caractéristiques physiques comme votre coiffure, votre tenue, votre morphologie ou encore votre posture.
Toujours est-il qu’aux USA, l’outil existe toujours et va encore s’améliorer dans l’avenir. Le laboratoire d’intelligence artificielle du réseau social a mis en place un algorithme qui va permettre de vous identifier sur les photos, même lorsque votre visage n’apparaît pas en analysant des caractéristiques physiques comme votre coiffure, votre tenue, votre morphologie ou encore votre posture.
Comme l’expliquait récemment Yann LeCun, directeur du laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook, chaque individu dispose de caractéristiques physiques qui lui sont propres. Il donne notamment l’exemple de Mark Zuckerberg qui porte constamment un T-Shirt gris.
Récemment, le réseau social a testé ce nouvel algorithme avec pas moins de 40 000 photos issues de Flickr dont certaines sur lesquelles le visage des personnes photographiées n’apparaissait pas de face. Pourtant, ça n’a pas empêché l’outil de reconnaissance de donner la bonne réponse dans 83% des cas.
Récemment, le réseau social a testé ce nouvel algorithme avec pas moins de 40 000 photos issues de Flickr dont certaines sur lesquelles le visage des personnes photographiées n’apparaissait pas de face. Pourtant, ça n’a pas empêché l’outil de reconnaissance de donner la bonne réponse dans 83% des cas.
Une annonce qui coïncide justement avec le lancement américain de Facebook Moments, une application qui permet de partager, avec vos amis, les photos sur lesquelles ils apparaissent mais également de recevoir les photos sur lesquelles vous apparaissez. Application qui ne sera d’ailleurs pas proposée en Europe, compte tenu de la position de la Commission Européenne vis-à-vis de la reconnaissance faciale.
Si en Europe, Facebook n’a plus le droit d’utiliser son outil de reconnaissance faciale depuis 2012, aux Etats Unis c’est toujours autorisé et c’est justement là que le bât blesse. Que va-t-il se passer dans le cas de l’individu qui ne souhaiterait pas apparaître sur une photo et cacherait son visage volontairement ? Un outil certes redoutablement puissant mais qui pourrait poser de sérieux problèmes relatifs à la vie privée.
Si en Europe, Facebook n’a plus le droit d’utiliser son outil de reconnaissance faciale depuis 2012, aux Etats Unis c’est toujours autorisé et c’est justement là que le bât blesse. Que va-t-il se passer dans le cas de l’individu qui ne souhaiterait pas apparaître sur une photo et cacherait son visage volontairement ? Un outil certes redoutablement puissant mais qui pourrait poser de sérieux problèmes relatifs à la vie privée.