Dok Phone: juin 2015

Il y a quelques jours, SFR-Numéricable a voulu s’offrir Bouygues Telecom pour 10 milliards d’euros, et tout semblait en place pour que l’offre soit acceptée. Malheureusement, ou heureusement selon le point de vue, le groupe Bouygues a finalement refusé le rachat, à la surprise générale.

Depuis ce refus catégorique, une source proche du conseil d’administration de Bouygues avait dévoilé les raisons qui avaient poussé ce dernier à refuser l’offre mirobolante. SFR-Numéricable ne souhaite pas pour autant rester dans son coin à écouter, et s’est finalement décidé à réagir et apporter des précisions sur son offre.

Ainsi, Atlice, maison mère de SFR-Numéricable, a déclaré avoir pris acte de la décision du conseil d’administration de Bouygues, tout en regrettant que celui-ci « n’ait cherché à obtenir la moindre précision ou explication sur son offre avant la présentation ». C’est donc tout naturellement que Atlice est revenu sur certains points, afin d’arrondir les angles, et donner son point de vue sur cette affaire.

C’est tout d’abord la valorisation de Bouygues Telecom qui est évoquée, puisque selon Atlice, l’offre de 10 milliards d’euros corresponds à environ 15 fois l’estimation Ebitda, Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization, réalisée par Bouygues en 2015. Il s’agirait même de 25 fois l’Ebitda réel, de quoi se rendre compte à quel point cette offre est démesurée.

Atlice a aussi expliqué que le financement de l’opération ne comprenait aucun risque, puisque déjà assuré et sécurisé via diverses sources de revenus, et annonce donc indirectement que l’argument de Bouygues sur les risques financiers n’est pas valable.

Le financement de l’opération est intégralement assuré et sécurisé, sans condition, aux termes des lettres d’engagement jointes à la remise de l’offre de BNP, JP Morgan et Morgan Stanley ; il correspond, pour environ 3,5 à 4 milliards d’euros à de l’emprunt bancaire, et pour environ 6 à 6,5 milliards d’euros à des fonds propres composés notamment pour 3,5 à 4 milliards d’euros de cessions d’actifs et d’augmentation de capital (réservée au groupe Bouygues si l’option de paiement partiel en actions était retenue) et d’environ 2,5 milliards d’euros de trésorerie disponible de Numericable-SFR au moment de la réalisation de l’opération. L’opération est ainsi financée à hauteur de 60%-65% en fonds propres et à hauteur de 35%-40% en dette, et non pas à hauteur de 10 milliards de dettes comme indiquées dans des fuites à la presse.

Le groupe SFR-Numéricable est aussi revenu sur les risques d’un tel rachat, et a précisé que celui-ci était encadré, et que des négociations exclusives avec Iliad, maison mère de Free, avaient été engagées pour réaliser des transferts d’actifs. Cela aurait dû se faire dès l’acquisition de Bouygues Telecom, et aurait permis à Atlice de réussir, comme cela a pu se faire pour les opérations réalisées en France par le groupe, mais étant donné l’échec de l’opération, cela ne devrait pas se produire.

Ces accords sont plus larges que ceux dont Bouygues s’est prévalue en mars 2014 dans le cadre de sa tentative de rachat échouée de SFR. Altice et Numericable-SFR ont par ailleurs initié des contacts avec les autorités concernées en vue de traiter et régler toutes les problématiques en cause, comme ils l’ont fait pour toutes les opérations qu’ils ont menées à bien en France.

Enfin, Atlice conclut avec la question de l’emploi, en précisant que la politique aurait été « identique à celles souscrites pour l’acquisition de SFR », qui, pour rappel, est considérée comme un enfer vue de l’intérieur. Voilà donc pour l’avis de SFR-Numéricable sur ce refus catégorique du groupe Bouygues, et qui devrait mettre un terme à l’histoire de rachat de ce dernier, à moins qu’une nouvelle intervention arrive dans les prochains jours, pour de nouveau arrondir les angles.

On parle beaucoup de l’arrivée à la rentrée prochaine du Galaxy Note 5, mais son grand rival, l’iPhone 7 (ou iPhone 6S) attirera l’attention de tous, comme chaque année. A quelques mois de sa présentation officielle, les rumeurs vont bon train.

Et il y en a une qui a attiré notre attention puisque ce serait un vrai revirement de la part d’Apple dans sa « philosophie » : la suppression du bouton « Home ». Ce fameux bouton que Google a choisi de ne pas intégrer à ses appareils, préférant apposer trois boutons tactiles.

C’est le site Digitimes qui affirme avoir obtenu des informations sur le prochain iPhone d’Apple. Selon ses sources, la firme de Cupertino serait prête à abandonner une technologie qu’elle défendait depuis des années : le bouton « Home ».

Ce fameux bouton physique a longtemps été un point de différence important entre Google et Apple. La firme de Mountain View a toujours préféré utiliser trois boutons physiques pour effectuer les actions les plus récurrentes à savoir le retour en arrière, l’accès au multi-tâche et le retour en page d’accueil.

Apple aurait finalement décidé d’en faire autant pour accorder plus de place à l’écran sur son prochain smartphone star. Exit le bouton « Home » et place à une nouvelle technologie basée sur le Force Touch qui permettrait donc de supprimer le bouton « Home » tout en conservant le lecteur d’empreintes biométrique cher à la marque.

Ainsi, la technologie serait directement intégrée à l’écran. Le capteur biométrique serait placé sous l’écran et ainsi l’iPhone 7 pourrait disposer d’un plus grand écran sans pour autant voir ses dimensions augmenter.

Un parti pris n’est pas dans la philosophie de la marque mais qui est tout à fait envisageable. Apple, qui promettait que ses iPhone auraient toujours un format qui permettrait de l’utiliser à une seule main, est revenu sur sa position en fin d’année dernière.

Avec l’iPhone 6, la firme de Cupertino a laissé de côté ses principes et a suivi le mouvement engagé par les autres constructeurs en proposant un appareil plus grand. Il ne serait donc pas étonnant qu’Apple finisse par rejoindre Google et fasse disparaître son bouton « Home ».

Initialement pressenti pour être annoncé à l’occasion de l’IFA 2015 en septembre, le Galaxy Note 5 ne cesse d’alimenter l’actualité avec de nouvelles rumeurs, et cela ne semble pas près de s’arrêter, puisque voici qu’une nouvelle source aurait donné quelques informations supplémentaires sur la future phablette.

Aux dernières nouvelles, le Samsung Galaxy Note 5 pourrait être dévoilé dès le mois d’août, cela afin d’éviter « la menace que représente l’iPhone 6S ». Cette nouvelle date semble se confirmer, toujours dans l’optique d’éviter Apple et son futur smartphone.

Mais la véritable nouvelle information est la possible absence de nouvelle version du Galaxy Note Edge. Cela pourrait en décevoir quelques-uns, qui auraient pu craquer pour cette variante du Galaxy Note 5, qui aurait donc pu être une version Note du Galaxy S6 Edge.

La nouvelle source évoque aussi la présence d’un écran QHD (2560 x 1440 pixels) de 5,89 pouces, ce qui confirmerait que Samsung a bel et bien abandonné l’idée d’un écran 4K pour sa future phablette. Histoire d’assurer une autonomie correcte avec un tel écran, le constructeur aurait décidé d’inclure une batterie de 4 100 mAh, ce qui ne serait pas de trop.

Le Galaxy Note 5 ne ferait que 7,9 mm d’épaisseur, et serait équipé d’un processeur Samsung Exynos 7422, et le S-Pen serait bien présent, sans surprise. Toutefois la source ne confirme ou n’infirme pas la présence d’un système d’autoéjection déjà évoqué par le passé.

En prime, le Galaxy Note 5 serait disponible dans une variante double SIM dans certaines régions du monde, incluant l’Europe. Samsung testerait actuellement sa phablette en interne, et elle tournerait sous Android Lollipop 5.1.1 avec la dernière version de TouchWiz, même si la version du système d’exploitation à encore le temps de changer d’ici sa sortie.

Enfin, pour conclure sur les nouvelles informations qui auraient fuité, le Galaxy Note 5 serait compatible 4G LTE, ce qui semble évident pour un haut de gamme. Le Galaxy Note 5 étant attendu pour le mois de septembre 2015, l’attente ne devrait pas être trop longue avant de savoir si tout ceci est avéré, ou non.

Le système de reconnaissance faciale de Facebook reste assez impressionnant, il suffit de voir lorsqu’on uploade une photo. Enfin, ça c’était avant que la Commission Européenne ne fasse retirer cette fonction dans nos contrées.

Toujours est-il qu’aux USA, l’outil existe toujours et va encore s’améliorer dans l’avenir. Le laboratoire d’intelligence artificielle du réseau social a mis en place un algorithme qui va permettre de vous identifier sur les photos, même lorsque votre visage n’apparaît pas en analysant des caractéristiques physiques comme votre coiffure, votre tenue, votre morphologie ou encore votre posture.

Comme l’expliquait récemment Yann LeCun, directeur du laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook, chaque individu dispose de caractéristiques physiques qui lui sont propres. Il donne notamment l’exemple de Mark Zuckerberg qui porte constamment un T-Shirt gris.

Récemment, le réseau social a testé ce nouvel algorithme avec pas moins de 40 000 photos issues de Flickr dont certaines sur lesquelles le visage des personnes photographiées n’apparaissait pas de face. Pourtant, ça n’a pas empêché l’outil de reconnaissance de donner la bonne réponse dans 83% des cas.

Une annonce qui coïncide justement avec le lancement américain de Facebook Moments, une application qui permet de partager, avec vos amis, les photos sur lesquelles ils apparaissent mais également de recevoir les photos sur lesquelles vous apparaissez. Application qui ne sera d’ailleurs pas proposée en Europe, compte tenu de la position de la Commission Européenne vis-à-vis de la reconnaissance faciale.

Si en Europe, Facebook n’a plus le droit d’utiliser son outil de reconnaissance faciale depuis 2012, aux Etats Unis c’est toujours autorisé et c’est justement là que le bât blesse. Que va-t-il se passer dans le cas de l’individu qui ne souhaiterait pas apparaître sur une photo et cacherait son visage volontairement ? Un outil certes redoutablement puissant mais qui pourrait poser de sérieux problèmes relatifs à la vie privée.

Il a été révélé hier que la dernière mise à jour Android 5.1.1 Lollipop disponible pour les téléphones Samsung Galaxy S6, après l’anglais T-Mobile, continuait son déploiement en France. Attention cependant, cette mise à jour fonctionnerait pour l’instant uniquement avec les téléphones desimlockés.

Toutefois, si les versions desimlockées du Samsung Galaxy S6 reçoivent la mise à jour, cela amène fortement à penser que la distribution générale de mises à jour pour ces smartphones est en passe de se réaliser. Avec une mise à jour pesant 623,55 Mo, il s’agit d’une évolution assez conséquente.

Lors de l’affichage du changelog, peu d’informations écrasantes sont dévoilées. Ce n’est qu’une fois l’installation complétée qu’il est possible de constater des modifications et nouveautés présentes dans cette nouvelle version. Il est désormais possible de décocher certaines options de la barre de notifications, les applications peuvent être classées dans l’ordre alphabétique…si cela vous rappelle quelque chose, c’est normal, ce genre d’options étaient disponibles sur les anciens smartphones.

La question qui se pose vraiment concerne le bug de mémoire dont on fait état depuis plusieurs mois. Cette version 5.1.1 a-t’elle corrigé ce problème ? Si de prime abord, il semblerait que oui, rapidement, la conclusion prend un virage à 180°. Après avoir utilisé quelques applications, la RAM qui se situait dans les 50 % d’utilisation vient maintenant flirter avec les 85 %. Il est donc peu risqué d’annoncer que non, le problème de la RAM n’a toujours pas été réglé et qu’il sera espérons-le, fait lors de la prochaine mise à jour.

Concernant le format RAW des photos, il semblerait également qu’il ne soit pas présent dans cette version française de la mise à jour. La mise à jour concerne tout de même un peu l’appareil photo auquel s’est ajouté un curseur réglant la luminosité avant la prise. L’update rend aussi le firmware compatible avec l’API Camera2. Bien évidemment, c’est une première version (disponible sur Kies ou en OTA) qui en appelle d’autres, il y a fort à parier que de nouvelles fonctionnalités viendront se greffer à une prochaine 5.1.2 ou 5.1.3…

Il semblerait que Microsoft s’emmêle les pinceaux à l’approche de la sortie officielle de Windows 10 le 29 juillet prochain. Si nous savons déjà tout ou presque de la prochaine version de l’OS, il restait jusqu’à hier encore quelques zones d’ombres notamment au niveau de la gratuité de Windows 10. Microsoft a donc été obligé d’expliquer plus clairement aux utilisateurs qui pourra profiter gratuitement de Windows 10.

Microsoft pensait avoir été clair au sujet de la gratuité de Windows 10 mais ce n’est visiblement pas le cas. La firme de Redmond a vraiment eu du mal à communiquer sur la question, tout le monde n’interprétant pas les propos tenus par le géant américain de la même manière.

Sur Twitter la firme a donc expliqué plus clairement ce qu’il en était sur ce point et en a profité pour modifier le billet de son blog officiel afin d’éclaircir la situation. On sait enfin de manière très claire qui pourra profiter de Windows 10 gratuitement.

Comme l’avait annoncé l’entreprise, les premiers à pouvoir prétendre à adopter Windows 10 gratuitement sont tous les utilisateurs de Windows 7 et Windows 8.1 détenteurs d’une licence valide (donc non piratée). Dès le 29 Juillet, ces utilisateurs pourront passer gratuitement à Windows 10.

Les autres utilisateurs sont ceux qui testent Windows 10 actuellement et qui acceptent de recevoir d’autres versions test à l’avenir, même après le lancement de Windows 10 le 29 Juillet. En d’autres termes, si un utilisateur teste actuellement Windows et qui décide, après le 29 Juillet, d’abandonner le programme Insider de Microsoft alors deux scénarios se présenteront à lui :

soit il utilisait Windows 7 ou Windows 8.1 (avec une licence valide) avant de tester la Preview de Windows 10 auquel cas il passera gratuitement sur la nouvelle version de l’OS
soit il utilisait une autre version de Windows (officielle ou non) auquel cas son Windows 10 finira par expirer (aucun délai précis n’a été communiqué) s’il ne l’achète pas.

Cette fois-ci, les explications de Microsoft ont au moins le mérite d’être claires. Si certains seront déçus, d’autres seront pour le moins rassurés. Dans tous les cas de figure, la communication autour de ce Windows 10 ne semble pas être vraiment au point.

Spécialiste des optiques pour appareils photos et des lentilles pour smartphones, Carl Zeiss s’est récemment lancé sur le marché de la réalité virtuelle avec le VR One, un casque de réalité virtuelle qui s’adresse exclusivement aux propriétaires de l’iPhone 6.

le VR One se veut le principal concurrent du Gear VR de Samsung. Comme Samsung, Carl Zeiss a en effet opté pour une armature en plastique, robuste et élégante, qui intègre un tiroir, dans lequel l’utilisateur doit glisser son smartphone. Par défaut, le casque n’est compatible qu’avec le Galaxy S5 de Samsung et l’iPhone 6, puisque le fabricant ne propose que des “tiroirs” adaptés à ces deux modèles. Néanmoins, rien ne vous empêche de glisser un autre smartphone Android, au risque de l’abîmer, voire de ne pas profiter d’une expérience optimale.

L’approche est donc ici radicalement différente d’Oculus, qui propose un casque intégrant déjà un écran. Comme Samsung, Carl Zeiss a fait le choix de proposer son casque sous la forme d’un accessoire pour mobiles plutôt qu’un casque de réalité virtuelle “stand-alone”. Et le pari est plutôt réussi, puisqu’en plus d’être beaucoup plus élégant que le casque d’Oculus, le VR One présente également l’énorme atout d’être vendu à un tarif plutôt compétitif (Environ 120 euros contre près de 199 euros pour le Gear VR). Sobre mais élégant, le casque de Carl Zeiss est également beaucoup plus confortable à porter que les casques de réalité virtuelle low-cost qui fleurissent sur le marché.

Avant de glisser son smartphone dans la visière du casque, l’utilisateur devra néanmoins télécharger quelques applications dédiées, dont un lanceur d’applications qui donne accès à une sélection d’applications compatibles. Comme Samsung, Carl Zeiss propose également à l’utilisateur de regarder un film confortablement installé dans son salon, en plongeant l’utilisateur dans un cinéma virtuel. Sans être sensationnelle, l’expérience est suffisamment intéressante pour qu’on s’amuse à regarder quelques bandes annonces, voir un film complet si le cœur vous en dit. Malheureusement, si le système fonctionne parfaitement, les migraines feront rapidement leur apparition, la faute à une technologie qui n’est pas vraiment adaptée à ce type d’usage.

En réalité, l’intérêt du VR One est ailleurs. Si le Google Play et l’App Store manquent encore d’applications dédiées à la réalité virtuelle, de nombreuses petites démos techniques sont déjà proposées, sous la forme de micro-applications, allant du défilé de mode virtuel à la balade dans un parc d’attractions, en passant par l’exploration d’une villa de Toscane. Comme le Cardboard de Google, le VR One permet de se familiariser avec une technologie qui devrait prendre son envol dans quelques années.

Visant encore un marché de niche, l’accessoire de Carl Zeiss a l’énorme atout d’être vendu séparément du tiroir qui permet de glisser le smartphone dans la visière du casque, ce qui signifie que le casque pourrait avoir une durée de vie de plusieurs années. Absolument irréprochable au niveau de sa conception (du boitier aux lentilles), il devrait élargir progressivement ses horizons avec de nouveaux tiroirs dédiés à d’autres modèles de smartphones, et davantage d’applications compatibles.

Plus intéressant, Carl Zeiss propose également une application de réalité augmentée qui permet d’utiliser l’appareil photo de son smartphone qui permet de faire apparaître de petits personnages animés grâce à un accessoire fourni avec le casque. Autre bonne nouvelle, le casque est à priori compatible avec toutes les applications du Cardboard, ce qui signifie que les utilisateurs ne devront pas uniquement compter sur Carl Zeiss pour proposer du contenu compatible avec le casque VR One puisque ce sont les développeurs qui s’en chargeront.

Enfin, et c’est sans doute le point qui intéressera le plus les propriétaires d’iPhone, le VR One est à l’heure actuelle le seul « vrai » casque de réalité virtuelle compatible avec l’iPhone 6. La taille du « tiroir » ne permet en revanche pas de glisser un iPhone 6 Plus dans le casque

Conclusion

Idéal pour se familiariser avec la réalité virtuelle, le VR One de Carl Zeiss offre un confort optimal grâce à ses lentilles de haute qualité et son boitier à la fois élégant et robuste. Plus abordable que l’Oculus Rift, compatible avec plus de smartphones que le Gear VR et plus confortable que le Cardboard de Google, le VR One est sans doute ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle pour tous ceux qui s’intéressent à la réalité virtuelle. S’il est sans doute encore un peu tôt pour s’enthousiasmer, vu le manque d’applications compatibles avec tous les casques de réalité virtuelle qui existent à l’heure actuelle, le VR One de Carl Zeiss a le mérite de démocratiser une technologie encore très coûteuse tout en ne faisant aucune concession au niveau des performances.

C’est une étude réalisée par Norton-Symantec qui révèle ce chiffre. En ayant menée une étude sur trois pays (France, Espagne et Italie), elle a été conçue pour mettre en lumière les habitudes, les travers, et surtout la vision que l’on avait de la protection des données personnelles.

Inutile de présenter Symantec, le logiciel développeur de Norton Antivirus. Spécialisé dans la sécurité informatique, la société a mené une étude sur un échantillon représentatif de 3001 français. Le verdict est sans appel : surveillez bien votre téléphone.

La curiosité est un vilain défaut, mais ça on s’en fiche un peu ou en tout cas, 52 % des personnes interrogées pense ainsi car ils ont répondu positivement à la question « À l’insu du propriétaire, seriez-vous prêts à consulter son smartphone ? ».

Selon d’autres résultats de l’enquête, 60 % des français interrogés avouent avoir déjà perdu un téléphone au cours de leur vie, un résultat en deçà des espagnols et italiens mais tout de même important. Donnée qui dessine un paradoxe assez improbable avec le fait que 34 % d’entre eux possèdent dans leurs smartphones des photos et documents privées et intimes.
Protéger vos informations personnelles

La perte de téléphone est une hantise pour tous, l’étude nous montre quels sont les endroits où il faudrait redoubler de vigilance, à commencer par les toilettes qui figure à la 3e place des endroits où cela pourrait se passer. Un français sur six en aurait déjà fait l’expérience, autrement dit il serait plus probable que vous perdiez votre téléphone aux toilettes, que vous ne vous le fassiez voler.

Si ces appareils mobiles deviennent des terminaux de plus en plus usités pour la consultations de mails, d’images, vidéos et pour les achats, il faut néanmoins se rendre compte des risques encourus par le stockage de vos informations personnelles. 29 % ont stocké leurs identifiants de connexion sur les réseaux sociaux et encore 33 % leurs identifiants de messagerie. Fait d’autant plus alarmant qu’Android est l’OS le plus piraté au monde.

Conscients de l’importance que représente vos smartphones et tablettes, 77 % des français auraient tendance à éviter de prêter leur téléphone et 8 % envisagerait de souscrire à une police d’assurance contre le vol ou la perte d’appareil mobile. Mais avant toute chose, vous pouvez commencer par consulter notre dossier sur la sécurité de vos smartphones.

Vous pouvez consultez les résultats complets ci-dessous :

Évoqués à plusieurs reprises, les Galaxy J5 et J7 viennent tout juste d’être officialisés par Samsung Chine. Deux smartphones milieu de gamme intéressants et orientés vers la photo. Tandis que la caméra frontale de 5 Mégapixels dédiée aux selfies s’équipe d’un flash LED, une grande première chez Samsung, sur le dos on retrouve un capteur photo de 13 Mégapixels d’ouverture f/1.9 qui devrait offrir une belle qualité d’image en basse luminosité.

Bien que les Galaxy J5 et J7 restent des terminaux milieu de gamme, Samsung semble avoir fait des efforts pour proposer une expérience utilisateur de qualité, notamment du côté de la partie logicielle puisqu’à bord, on retrouvera Android 5.1 Lollipop, accompagné de la toute dernière version de TouchWiz, en résumé la même version que celle déjà proposée sur les Galaxy S6 et S6 Edge.

Le J5 est attendu avec un écran HD 720p de 5 pouces et un processeur quad core Snapdragon 410. Quand au J7, il s’équipe d’un écran HD 720 de 5,5 pouces et d’un processeur octo core Snapdragon 615. Les deux s’équipent d’1,5 Go de Ram et d’une capacité de stockage de 16 Go, extensible via micro SD.

Sur le marché chinois, les deux appareils seront respectivement vendus aux prix de 1398 et 1798 Yuan, soit l’équivalent de 200 et 255 euros.
Galaxy J5

    Ecran : LCD TFT de 5 pouces avec définition HD 720p
    Processeur : quad core 64 Bit Snapdragon 410 cadencé à 1,2 Ghz
    Ram : 1,5 Go
    Stockage : 16 Go
    Slot SD : oui
    Appareil photo : 13 Mégapixels d’ouverture f/1.9
    Caméra frontale : 5 Mégapixels avec flash LED
    4G LTE : oui
    Batterie : 2600 mAh
    Connectivité : Wifi 802.11 b / g / n 2,4 GHz, Bluetooth v4.1, GPS/GLONASS
    Dual SIM : oui
    Dimensions : 142 x 73 x 8,5 mm
    Poids : 149 grammes
    Coloris : or, noir, blanc
    OS : Android 5.1 Lollipop

Galaxy J7

    Ecran : TFT LCD de 5,5 pouces avec définition HD 720p
    Processeur :octo core 64 Bit Snapdragon 615
    Ram : 1,5 Go
    Stockage : 16 Go
    Slot SD : oui
    Appareil photo : 13 Mégapixels d’ouverture f/1.9
    Caméra frontale : 5 Mégapixels avec flash LED
    4G LTE : oui
    Batterie : 3000 mAh
    Connectivité : Wifi 802.11 b / g / n 2,4 GHz, Bluetooth v4.1, GPS/GLONASS
    Dual SIM : oui
    Dimensions : 152,2 x 79,1 x 7,9 mm
    Poids : 170 grammes
    Coloris : or, noir, blanc
    OS : Android 5.1 Lollipop

Des ingénieurs japonais ont conçu un robot expert dans le maniement du katana. Faisant preuve d’une précision chirurgicale, il est capable de copier les mouvements de son professeur. Professeur qui est l’un des derniers grands maîtres samouraïs japonais.

Après avoir longuement étudié les mouvements de son professeur et sa technique, Motoman MH-24, et son bras robotique Yaskawa Bushido l’a ensuite affronté lors d’une série d’épreuves.
Le robot a appris à manier l’épée en capturant numériquement les mouvements et compétences du maître japonais Isao Machii. Machii est un maître de l’épée “Iaijyutsu” et détient cinq records du monde enregistrés au Guinness.

Le maître détient d’ailleurs le record des “milles coups d’épée Iaido les plus rapides“, tout cela en 36 minutes et quatre secondes. Il détient la majeure partie des records dans la catégorie Iaido. Il a récemment réalisé des exploits extraordinaires, comme celui de trancher une crevette d’un coup de katana alors que celle-ci était projetée à 130 kilomètres/heure.

Malgré ses compétences incroyables, Isao Machii a été surpassé par son élève robot. Le Yaskawa Bushido a été capable de couper et découper avec une plus grande précision que son illustre modèle, malgré le fait que Machii ait été plus rapide.
Le robot a appris comment exécuter une variété de coupes impressionnantes : coupes transversales, coupes horizontales et diagonales, tout cela avec une grande rapidité et une grande précision. Il a par exemple tranché une gousse mesurant seulement 1 centimètre d’épaisseur.

Les mouvements du maître Machii ont pu être capturés grâce à un système de sangles et de capteurs modélisant les mouvements du cobaye en 3 dimensions et enregistrant tous les détails des mouvements pratiqués. Captures ajoutées ensuite à la base de données du robot, qui les reproduit ensuite à la perfection.

Dans la vidéo qui suit vous pourrez admirer la précision mortelle de Yaskawa Bushido au cours de plusieurs épreuves le mettant aux prises avec le célèbre maître Machii.

On peut donc imaginer que des robots samouraïs seront capables de combattre et de tenir tête à leurs homologues humains. Les robots conserveront deux avantages majeurs : leur technologie qui leur permettra d’exécuter des mouvements parfaits avec précision et vitesse, et leur absence de fatigue, ce qui constituera un avantage non négligeable. Ailleurs dans le monde, plusieurs robots à la pointe de la technologie sont actuellement développés. Des ingénieurs ont développé un bras robotique capable de battre un champion de tennis de table en mars dernier, et en avril ce sont des ingénieurs britanniques qui ont développé un robot-chef capable de préparer tout un éventail de plats. Côté militaire, les russes ont quant à eux développé un robot soldat capable de battre les meilleurs gâchettes de la planète lors de tirs de précision. On a aussi une petite pensée pour ce robot qui avait sauvé un homme du suicide. On vous avait parlé récemment du Tank drone Ripsaw, machine pouvant être pilotée et guidée à distance. Ainsi son utilisateur peut aussi prendre le contrôle des armes embarquées sans risquer sa vie. On peut cependant difficilement imaginer des guerres où des robots entièrement autonomes combattraient, puisque la guerre reste selon ses propres codes une entreprise humaine.

C’est à l’occasion de sa Worldwide Developers Conference que le géant Apple a présenté les nouveautés accompagnant la sortie de son nouveau système d’exploitation, iOS9. Au programme, une autonomie revue à la hausse, des fonctions de recherches plus efficaces et des fonctionnalités améliorant le confort d’utilisation et les possibilités des appareils.

Cette nouvelle version sera disponible pour iPhones et iPads dans le courant de l’année et ajoutera toute une batterie de nouvelles fonctionnalités. On peut d’ailleurs noter l’arrivée du nouveau Siri bien plus efficace qu’avant, un allongement de l’autonomie de la batterie et des améliorations concernant les performances de votre outil préféré. iOS9 apportera cependant des changements plutôt discrets comparés à ceux amenés par iOS8 qui était la plus grosse refonte du système d’exploitation d’Apple.
Nouveau Siri

On commence donc avec l’application Siri, qui a bénéficié de nombreuses améliorations pour l’occasion. Largement remanié, Siri est maintenant bien plus malin et fonctionne un peu à la manière de Google. Sensible au contexte, l’application est capable de proposer des suggestions pertinentes lors de vos requêtes, améliorant ainsi l’efficacité de vos recherches.

Apple améliore aussi son API gérant les recherches, ce qui permettra aux développeurs de tirer parti des nouvelles fonctionnalités de Siri et d’améliorer les liens et les connexions entre applications. Cette nouvelle interface de recherche pourra fournir des suggestions à la manière de Google Now, suggestions s’adaptant à votre liste de contacts ou votre emploi du temps.

D’autres améliorations seront aussi incluses, comme par exemple une meilleure identification de l’appelant si le numéro de téléphone entrant n’est pas répertorié dans votre liste de contacts. Ainsi iOS tentera de deviner l’identité du mystérieux inconnu en farfouillant dans vos applications ou vos mails, endroits ou des informations à son sujet seraient susceptibles d’être enregistrées. Autre amélioration, iOS sera capable de vous envoyer des rappels personnalisés en fonction des impératifs de votre calendrier et pourra vous fournir des informations complémentaires concernant le sujet de vos mails et autres invitations à des évènements.

Craig Federighi travaillant chez Apple a déclaré que les nouvelles fonctionnalités de Siri n’auront aucun impact sur le respect de la vie privée de l’utilisateur, puisque celles-ci ont été conçues pour ne pas être intrusives.

iOS 9 pour iPad

Apple a présenté une toute nouvelle refonte du clavier visuel et des fonctions tactiles de l’appareil, permettant d’ajuster beaucoup plus facilement un texte ou la position du curseur.

Split-Screen pour le multitasking

Le multitâche était également aux cœur des préoccupations du géant de l’électronique concernant ses tablettes. Le Split-Screen fait donc son arrivée et permettra aux utilisateurs d’exécuter deux applications totalement différentes côte à côte sur le même écran. Ceci est une première pour les appareil iOS. Autre nouveauté concernant cette fois la lecture de vidéos, avec la possibilité d’insérer un cadre vidéo pendant que vous travaillez sur une application en plein écran.

Meilleure autonomie, vraiment ?

Pour terminer, iOS 9 va également améliorer les performances des batteries, amélioration pouvant allonger l’autonomie de votre appareil de une à trois heures selon Craig Federighi. Un nouveau mode d’économie d’énergie a aussi été implémenté ce qui permettra d’améliorer l’autonomie des appareils lorsqu’il est activé.

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