Après Samsung, au tour de Huawei de vouloir lancer son propre système d'exploitation
Le constructeur chinois Huawei s'apprêterait à dévoiler son propre système d'exploitation mobile, selon un indiscrétion du site GizmoChina. A l'instar de Samsung avec Tizen, Huawei pourrait ainsi, en partie, s'affranchir d'Android sur ses prochains smartphones.
Ce système d'exploitation, développé par Huawei en interne, s'appellerait Kirin OS et pourrait, à terme, remplacer Android sur certaines de ses productions. Aucune fuite précise n'évoque les caractéristiques propres à ce système mais cette décision n'est pas anodine, venant du quatrième vendeur de smartphones au monde. Jusqu'à présent, ses produits tournent sous Android, agrémentés d'une surcouche maison, comme c'est le cas pour d'autres constructeurs. L'idée de disposer de son propre système d'exploitation alternatif suit la mouvance de Samsung avec Tizen.
Il ne s'agit toutefois pour l'instant que de rumeurs, et cela ne l'empêcherait pas de travailler en parallèle pour Google, pour son prochain smartphone estampillé Nexus.
Des alternatives très discrètes
Il est devenu difficile de se faire une place face à Android et iOS; en ce début d'année 2015, ils concentrent à eux deux plus de 96% des ventes de smartphones dans le monde, selon IDC.
Samsung a néanmoins développé, en collaboration avec Intel, Tizen, un système d'exploitation ouvert et multiplateforme, compatible avec les applications Android ou encore Firefox OS. Tizen est déjà présent sur quelques montres du constructeur sud-coréen et même un smartphone low cost, le Z1, vendu sur quelques marchés émergents.
D'autres acteurs n'hésitent pas à jouer la carte du low cost, comme la fondation Mozilla avec Firefox OS, installé sur des smartphones d'entrée de gamme. Ce système d'exploitation se veut par ailleurs multisupport et présent à terme sur tous les types d'écran possibles (smartphones, tablettes, TV, voitures, montres connectées etc.). De son côté, l'éditeur Canonical propose une alternative baptisée Ubuntu Touch, déclinaison mobile de sa célèbre distribution de Linux, d'ores et déjà proposée dans quelques pays européens.
Enfin, Cyanogen, à l'origine du système d'exploitation pour mobile CyanogenMod basé sur Android et qui peut aisément se substituer à lui, ambitionne de devenir le troisième acteur du marché derrière Android et iOS. Cyanogen est pour cela soutenu par Qualcomm, Telefonica, Twitter ou encore le groupe média de Rupert Murdoch.
Ce système d'exploitation, développé par Huawei en interne, s'appellerait Kirin OS et pourrait, à terme, remplacer Android sur certaines de ses productions. Aucune fuite précise n'évoque les caractéristiques propres à ce système mais cette décision n'est pas anodine, venant du quatrième vendeur de smartphones au monde. Jusqu'à présent, ses produits tournent sous Android, agrémentés d'une surcouche maison, comme c'est le cas pour d'autres constructeurs. L'idée de disposer de son propre système d'exploitation alternatif suit la mouvance de Samsung avec Tizen.
Il ne s'agit toutefois pour l'instant que de rumeurs, et cela ne l'empêcherait pas de travailler en parallèle pour Google, pour son prochain smartphone estampillé Nexus.
Des alternatives très discrètes
Il est devenu difficile de se faire une place face à Android et iOS; en ce début d'année 2015, ils concentrent à eux deux plus de 96% des ventes de smartphones dans le monde, selon IDC.
Samsung a néanmoins développé, en collaboration avec Intel, Tizen, un système d'exploitation ouvert et multiplateforme, compatible avec les applications Android ou encore Firefox OS. Tizen est déjà présent sur quelques montres du constructeur sud-coréen et même un smartphone low cost, le Z1, vendu sur quelques marchés émergents.
D'autres acteurs n'hésitent pas à jouer la carte du low cost, comme la fondation Mozilla avec Firefox OS, installé sur des smartphones d'entrée de gamme. Ce système d'exploitation se veut par ailleurs multisupport et présent à terme sur tous les types d'écran possibles (smartphones, tablettes, TV, voitures, montres connectées etc.). De son côté, l'éditeur Canonical propose une alternative baptisée Ubuntu Touch, déclinaison mobile de sa célèbre distribution de Linux, d'ores et déjà proposée dans quelques pays européens.
Enfin, Cyanogen, à l'origine du système d'exploitation pour mobile CyanogenMod basé sur Android et qui peut aisément se substituer à lui, ambitionne de devenir le troisième acteur du marché derrière Android et iOS. Cyanogen est pour cela soutenu par Qualcomm, Telefonica, Twitter ou encore le groupe média de Rupert Murdoch.
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